Essai sur l'art de ramper, à l'usage des courtisans
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages17
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-916659-06-0
- EAN9782916659060
- Date de parution01/06/2010
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurÉditions La Langue Française
Résumé
L'auteur dépeint le courtisan, empreint d'humour et de vérité, que le lecteur observe avec perplexité. Le titre de ce petit pamphlet, Essai sur l'art de ramper à l'usage des courtisans, est déjà en soi tout un programme et annonce un texte riche en renseignements délicieux sur l'art et la manière de se mouvoir à la cour. Alors que l'homme de cour cherche à plaire au prince pour lui arracher ses faveurs, le baron d'Holbach nous apprend que « de tous les arts, le plus difficile est celui de ramper.
Cet art sublime est peut-être la plus merveilleuse conquête de l'esprit humain. » Il faut effectivement un grand talent pour être un courtisan. L'Essai sur l'art de ramper à l'usage des courtisans, ce petit guide du savoir vivre en société, demeure un ouvrage de référence pour tout honnête homme. "L'homme de Cour est sans contredit la production la plus curieuse que montre l'espèce humaine. C'est un animal amphibie dans lequel tous les contrastes se trouvent communément rassemblés.
Un philosophe danois compare le courtisan à la statue composée de matières très différentes que Nabuchodonosor vit en songe : la tête du courtisan est de verre, ses cheveux sont d'or, ses mains sont de poix-résine, son corps est de plâtre, son cour est moitié de fer et moitié de boue, ses pieds sont de paille, et son sang est composé d'eau et de vif-argent."
Cet art sublime est peut-être la plus merveilleuse conquête de l'esprit humain. » Il faut effectivement un grand talent pour être un courtisan. L'Essai sur l'art de ramper à l'usage des courtisans, ce petit guide du savoir vivre en société, demeure un ouvrage de référence pour tout honnête homme. "L'homme de Cour est sans contredit la production la plus curieuse que montre l'espèce humaine. C'est un animal amphibie dans lequel tous les contrastes se trouvent communément rassemblés.
Un philosophe danois compare le courtisan à la statue composée de matières très différentes que Nabuchodonosor vit en songe : la tête du courtisan est de verre, ses cheveux sont d'or, ses mains sont de poix-résine, son corps est de plâtre, son cour est moitié de fer et moitié de boue, ses pieds sont de paille, et son sang est composé d'eau et de vif-argent."
L'auteur dépeint le courtisan, empreint d'humour et de vérité, que le lecteur observe avec perplexité. Le titre de ce petit pamphlet, Essai sur l'art de ramper à l'usage des courtisans, est déjà en soi tout un programme et annonce un texte riche en renseignements délicieux sur l'art et la manière de se mouvoir à la cour. Alors que l'homme de cour cherche à plaire au prince pour lui arracher ses faveurs, le baron d'Holbach nous apprend que « de tous les arts, le plus difficile est celui de ramper.
Cet art sublime est peut-être la plus merveilleuse conquête de l'esprit humain. » Il faut effectivement un grand talent pour être un courtisan. L'Essai sur l'art de ramper à l'usage des courtisans, ce petit guide du savoir vivre en société, demeure un ouvrage de référence pour tout honnête homme. "L'homme de Cour est sans contredit la production la plus curieuse que montre l'espèce humaine. C'est un animal amphibie dans lequel tous les contrastes se trouvent communément rassemblés.
Un philosophe danois compare le courtisan à la statue composée de matières très différentes que Nabuchodonosor vit en songe : la tête du courtisan est de verre, ses cheveux sont d'or, ses mains sont de poix-résine, son corps est de plâtre, son cour est moitié de fer et moitié de boue, ses pieds sont de paille, et son sang est composé d'eau et de vif-argent."
Cet art sublime est peut-être la plus merveilleuse conquête de l'esprit humain. » Il faut effectivement un grand talent pour être un courtisan. L'Essai sur l'art de ramper à l'usage des courtisans, ce petit guide du savoir vivre en société, demeure un ouvrage de référence pour tout honnête homme. "L'homme de Cour est sans contredit la production la plus curieuse que montre l'espèce humaine. C'est un animal amphibie dans lequel tous les contrastes se trouvent communément rassemblés.
Un philosophe danois compare le courtisan à la statue composée de matières très différentes que Nabuchodonosor vit en songe : la tête du courtisan est de verre, ses cheveux sont d'or, ses mains sont de poix-résine, son corps est de plâtre, son cour est moitié de fer et moitié de boue, ses pieds sont de paille, et son sang est composé d'eau et de vif-argent."