Espace et récit de fiction. Le cycle indien de Marguerite Duras
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- Nombre de pages264
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7574-2688-3
- EAN9782757426883
- Date de parution17/12/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPU du Septentrion
Résumé
« Lol resta toujours là où l'événement l'avait trouvée ». À son entrée dans l'histoire, le personnage est chez Marguerite Duras stoppé net. Confronté à un événement traumatique, impossible à oublier comme à convertir, il est rendu à la vacance d'une vie privée de conquêtes. On le voit alors aller et venir, dans un exercice élaboré de reprises et de redites, avant qu'il n'envisage la seule décision susceptible d'orienter l'histoire : revenir se placer au lieu même où son existence fut gagée.
Mais pénétrer dans ce haut lieu ne ranime pas les faits vécus. Le Ravissement de Lol V. Stein se ferme. Son monde survit cependant par le développement du cycle, ou plutôt par son enroulement, à travers Le Vice-consul et L'Amour, décrivant, sur le tracé de la danse inaugurale, un soir de bal au casino municipal de T. Beach, une large boucle spiralée. Chez Marguerite Duras, le récit accorde à l'espace l'importance qu'il refuse à l'intrigue.
Au contact de cette ouvre, il s'agit de rendre à la poétique du récit de fiction la dimension de l'espace trop longtemps sacrifiée à l'évidence des interactions entre temps et récit. Espace et narration, espace et perception, décor et représentation donneront à cette poétique construite avec le soutien de la linguistique et de la phénoménologie ses grands axes.
Mais pénétrer dans ce haut lieu ne ranime pas les faits vécus. Le Ravissement de Lol V. Stein se ferme. Son monde survit cependant par le développement du cycle, ou plutôt par son enroulement, à travers Le Vice-consul et L'Amour, décrivant, sur le tracé de la danse inaugurale, un soir de bal au casino municipal de T. Beach, une large boucle spiralée. Chez Marguerite Duras, le récit accorde à l'espace l'importance qu'il refuse à l'intrigue.
Au contact de cette ouvre, il s'agit de rendre à la poétique du récit de fiction la dimension de l'espace trop longtemps sacrifiée à l'évidence des interactions entre temps et récit. Espace et narration, espace et perception, décor et représentation donneront à cette poétique construite avec le soutien de la linguistique et de la phénoménologie ses grands axes.
« Lol resta toujours là où l'événement l'avait trouvée ». À son entrée dans l'histoire, le personnage est chez Marguerite Duras stoppé net. Confronté à un événement traumatique, impossible à oublier comme à convertir, il est rendu à la vacance d'une vie privée de conquêtes. On le voit alors aller et venir, dans un exercice élaboré de reprises et de redites, avant qu'il n'envisage la seule décision susceptible d'orienter l'histoire : revenir se placer au lieu même où son existence fut gagée.
Mais pénétrer dans ce haut lieu ne ranime pas les faits vécus. Le Ravissement de Lol V. Stein se ferme. Son monde survit cependant par le développement du cycle, ou plutôt par son enroulement, à travers Le Vice-consul et L'Amour, décrivant, sur le tracé de la danse inaugurale, un soir de bal au casino municipal de T. Beach, une large boucle spiralée. Chez Marguerite Duras, le récit accorde à l'espace l'importance qu'il refuse à l'intrigue.
Au contact de cette ouvre, il s'agit de rendre à la poétique du récit de fiction la dimension de l'espace trop longtemps sacrifiée à l'évidence des interactions entre temps et récit. Espace et narration, espace et perception, décor et représentation donneront à cette poétique construite avec le soutien de la linguistique et de la phénoménologie ses grands axes.
Mais pénétrer dans ce haut lieu ne ranime pas les faits vécus. Le Ravissement de Lol V. Stein se ferme. Son monde survit cependant par le développement du cycle, ou plutôt par son enroulement, à travers Le Vice-consul et L'Amour, décrivant, sur le tracé de la danse inaugurale, un soir de bal au casino municipal de T. Beach, une large boucle spiralée. Chez Marguerite Duras, le récit accorde à l'espace l'importance qu'il refuse à l'intrigue.
Au contact de cette ouvre, il s'agit de rendre à la poétique du récit de fiction la dimension de l'espace trop longtemps sacrifiée à l'évidence des interactions entre temps et récit. Espace et narration, espace et perception, décor et représentation donneront à cette poétique construite avec le soutien de la linguistique et de la phénoménologie ses grands axes.