Erudition et religion aux XVII et XVIIIº siècles
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- Nombre de pages528
- FormatPDF
- ISBN978-2-226-19859-4
- EAN9782226198594
- Date de parution26/04/1994
- Protection num.Adobe DRM
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
L'essor considérable de l'érudition et de la philologie à l'âge classique, véritable acte de naissance de l'histoire-science, a engendré une crise religieuse dans laquelle gallicans et jansénistes, par leur volonté d'ériger l'Histoire en norme absolue, ont affronté le siège de Rome. Bruno Neveu, directeur d'étude à l'École Pratique des Hautes Études (section des sciences historiques et philologiques), depuis plus de vingt ans, consacre son travail d'historien à éclairer les termes d'une longue controverse sur les rapports de l'Histoire et de la Tradition.
En analysant les méthodes de travail et les aspirations réformistes, abritées sous l'ombre tutélaire du grand saint Augustin, de plusieurs générations d'érudits ecclésiastiques, mais également la riposte au danger d'« archéolâtrie » que les pontifes romains pressentaient, Bruno Neveu apporte une contribution importante à la délicate et toujours actuelle question de la place de l'Histoire dans la vie de la cité et de l'Église.
En analysant les méthodes de travail et les aspirations réformistes, abritées sous l'ombre tutélaire du grand saint Augustin, de plusieurs générations d'érudits ecclésiastiques, mais également la riposte au danger d'« archéolâtrie » que les pontifes romains pressentaient, Bruno Neveu apporte une contribution importante à la délicate et toujours actuelle question de la place de l'Histoire dans la vie de la cité et de l'Église.
L'essor considérable de l'érudition et de la philologie à l'âge classique, véritable acte de naissance de l'histoire-science, a engendré une crise religieuse dans laquelle gallicans et jansénistes, par leur volonté d'ériger l'Histoire en norme absolue, ont affronté le siège de Rome. Bruno Neveu, directeur d'étude à l'École Pratique des Hautes Études (section des sciences historiques et philologiques), depuis plus de vingt ans, consacre son travail d'historien à éclairer les termes d'une longue controverse sur les rapports de l'Histoire et de la Tradition.
En analysant les méthodes de travail et les aspirations réformistes, abritées sous l'ombre tutélaire du grand saint Augustin, de plusieurs générations d'érudits ecclésiastiques, mais également la riposte au danger d'« archéolâtrie » que les pontifes romains pressentaient, Bruno Neveu apporte une contribution importante à la délicate et toujours actuelle question de la place de l'Histoire dans la vie de la cité et de l'Église.
En analysant les méthodes de travail et les aspirations réformistes, abritées sous l'ombre tutélaire du grand saint Augustin, de plusieurs générations d'érudits ecclésiastiques, mais également la riposte au danger d'« archéolâtrie » que les pontifes romains pressentaient, Bruno Neveu apporte une contribution importante à la délicate et toujours actuelle question de la place de l'Histoire dans la vie de la cité et de l'Église.