Ernst Trœltsch, la religion chrétienne et le monde moderne
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- Nombre de pages326
- FormatePub
- ISBN2-7059-1094-8
- EAN9782705910945
- Date de parution01/01/1999
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille95 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPresses universitaires de France...
Résumé
Au début de ce siècle, Ernst Troltsch applique au christianisme les méthodes de la rationalité historienne et inaugure, avec Max Weber, la sociologie des religions. Dans Les doctrines sociales des églises et des groupes chrétiens (1912) qui examine les éthiques chrétiennes de la naissance du Christ jusqu'aux Lumières, il circonscrit trois types sociologiques recouvrant trois rapports au monde : le type-Église (acceptation conservatrice), le type-secte (refus critique), le type-mystique (indifférence passive).
Pour Troltsch, le christianisme s'est trouvé écartelé tout au long de son histoire entre déni évangélique de la réalité séculière et nécessité historique du compromis. Il n'a ainsi pu qu'accompagner le cours moderne de la civilisation occidentale, refusant jusque dans ses formes néo-protestantes d'endosser ses implications libérales et démocratiques.
Pour Troltsch, le christianisme s'est trouvé écartelé tout au long de son histoire entre déni évangélique de la réalité séculière et nécessité historique du compromis. Il n'a ainsi pu qu'accompagner le cours moderne de la civilisation occidentale, refusant jusque dans ses formes néo-protestantes d'endosser ses implications libérales et démocratiques.
Au début de ce siècle, Ernst Troltsch applique au christianisme les méthodes de la rationalité historienne et inaugure, avec Max Weber, la sociologie des religions. Dans Les doctrines sociales des églises et des groupes chrétiens (1912) qui examine les éthiques chrétiennes de la naissance du Christ jusqu'aux Lumières, il circonscrit trois types sociologiques recouvrant trois rapports au monde : le type-Église (acceptation conservatrice), le type-secte (refus critique), le type-mystique (indifférence passive).
Pour Troltsch, le christianisme s'est trouvé écartelé tout au long de son histoire entre déni évangélique de la réalité séculière et nécessité historique du compromis. Il n'a ainsi pu qu'accompagner le cours moderne de la civilisation occidentale, refusant jusque dans ses formes néo-protestantes d'endosser ses implications libérales et démocratiques.
Pour Troltsch, le christianisme s'est trouvé écartelé tout au long de son histoire entre déni évangélique de la réalité séculière et nécessité historique du compromis. Il n'a ainsi pu qu'accompagner le cours moderne de la civilisation occidentale, refusant jusque dans ses formes néo-protestantes d'endosser ses implications libérales et démocratiques.