Épaves de Camargue. D'Aigues - Mortes à Fos - sur - Mer, du XVe au XIXe siècle
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- Nombre de pages168
- FormatePub
- ISBN2-307-22580-3
- EAN9782307225805
- Date de parution01/01/1988
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille35 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Notr...
Résumé
Plus traditionnellement connue pour ses calmes étangs parsemés des volatiles, ou pour les troupeaux de taureaux et de chevaux sauvages pâturant dans de vastes étendues, la Camargue fut - à ses heures - une terre impitoyable, dévoreuse de navires et de marins. Bande côtière instable, parcourue de courants et de tempêtes, elle abrasait, rongeait, et disloquait les charpentes les plus fortes, pour livrer ensuite au pillage éhonté les effets des disparus.
Ainsi, durant ces derniers siècles, le lourd tribut, que par ces parages la mer exigeait aux équipages de toutes nationalités - qu'ils fussent corsaires, pêcheurs, commerçants ou soldats - s'élevait, en moyenne, à cent cinquante naufrages par an. Albert Illouze, jeune chercheur en archives, a patiemment rassemblé les parchemins et les lettres anciennes, qui font le récit de ces drames parfois épiques et cocasses.
À l'imagerie camarguaise traditionnelle, se substitue alors une fresque tumultueuse, où les chants d'agonie, qui s'échappent des mâtures et des épaves en perdition, sont aussitôt emportés par le vent, tandis que les rescapés de ces froides tempêtes d'hiver, qui atteignent par chance le rivage, s'égarent et succombent à leur tour dans la fange des marais. Ordonnés chronologiquement - à la façon d'un répertoire - dans un grand souci de rigueur, ces textes livrent les témoignages inédits des plus riches heures de la Camargue.
Ainsi, durant ces derniers siècles, le lourd tribut, que par ces parages la mer exigeait aux équipages de toutes nationalités - qu'ils fussent corsaires, pêcheurs, commerçants ou soldats - s'élevait, en moyenne, à cent cinquante naufrages par an. Albert Illouze, jeune chercheur en archives, a patiemment rassemblé les parchemins et les lettres anciennes, qui font le récit de ces drames parfois épiques et cocasses.
À l'imagerie camarguaise traditionnelle, se substitue alors une fresque tumultueuse, où les chants d'agonie, qui s'échappent des mâtures et des épaves en perdition, sont aussitôt emportés par le vent, tandis que les rescapés de ces froides tempêtes d'hiver, qui atteignent par chance le rivage, s'égarent et succombent à leur tour dans la fange des marais. Ordonnés chronologiquement - à la façon d'un répertoire - dans un grand souci de rigueur, ces textes livrent les témoignages inédits des plus riches heures de la Camargue.
Plus traditionnellement connue pour ses calmes étangs parsemés des volatiles, ou pour les troupeaux de taureaux et de chevaux sauvages pâturant dans de vastes étendues, la Camargue fut - à ses heures - une terre impitoyable, dévoreuse de navires et de marins. Bande côtière instable, parcourue de courants et de tempêtes, elle abrasait, rongeait, et disloquait les charpentes les plus fortes, pour livrer ensuite au pillage éhonté les effets des disparus.
Ainsi, durant ces derniers siècles, le lourd tribut, que par ces parages la mer exigeait aux équipages de toutes nationalités - qu'ils fussent corsaires, pêcheurs, commerçants ou soldats - s'élevait, en moyenne, à cent cinquante naufrages par an. Albert Illouze, jeune chercheur en archives, a patiemment rassemblé les parchemins et les lettres anciennes, qui font le récit de ces drames parfois épiques et cocasses.
À l'imagerie camarguaise traditionnelle, se substitue alors une fresque tumultueuse, où les chants d'agonie, qui s'échappent des mâtures et des épaves en perdition, sont aussitôt emportés par le vent, tandis que les rescapés de ces froides tempêtes d'hiver, qui atteignent par chance le rivage, s'égarent et succombent à leur tour dans la fange des marais. Ordonnés chronologiquement - à la façon d'un répertoire - dans un grand souci de rigueur, ces textes livrent les témoignages inédits des plus riches heures de la Camargue.
Ainsi, durant ces derniers siècles, le lourd tribut, que par ces parages la mer exigeait aux équipages de toutes nationalités - qu'ils fussent corsaires, pêcheurs, commerçants ou soldats - s'élevait, en moyenne, à cent cinquante naufrages par an. Albert Illouze, jeune chercheur en archives, a patiemment rassemblé les parchemins et les lettres anciennes, qui font le récit de ces drames parfois épiques et cocasses.
À l'imagerie camarguaise traditionnelle, se substitue alors une fresque tumultueuse, où les chants d'agonie, qui s'échappent des mâtures et des épaves en perdition, sont aussitôt emportés par le vent, tandis que les rescapés de ces froides tempêtes d'hiver, qui atteignent par chance le rivage, s'égarent et succombent à leur tour dans la fange des marais. Ordonnés chronologiquement - à la façon d'un répertoire - dans un grand souci de rigueur, ces textes livrent les témoignages inédits des plus riches heures de la Camargue.




