Entre l'éternité et le temps. La Sainte écriture
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages64
- FormatePub
- ISBN2-36403-022-6
- EAN9782364030220
- Date de parution01/01/1999
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurDesiris (Editions)
Résumé
Claude Martingay a exercé le métier de libraire, a fondé les Editions Ad solem en 1969, dont le but était de publier des écrits issus de l'expérience spirituelle et qui trouvaient difficilement une place chez les éditeurs religieux de l'époque.
Tout en vendant et publiant les livres d'autrui, il en écrivit lui-même quelques-uns, parmi lesquels il faut citer Le Conte du huitième jour, qui est la tentative de reconstituer l'image du puzzle dont les moments d'une existence sont les pièces éparpillées dans la mémoire.
Ce conte est écrit sur des pages au filigrane du Jeu de Mar-Lah-Klem, publié en 1971, jeu sinon éducateur de l'étonnement. Mais le plus important peut-être fut la rencontre de l'auteur avec saint Grégoire de Nazianze dans Le Dit de sa vie, où prit naissance ce qu'il appelle lui-même une " conversion ", quand l'amour des livres et des idées commença de s'effacer derrière celui du langage et, très particulièrement, derrière celui de La Sainte Ecriture, dont le mystère n'est pas celui d'une pensée divine, mais du Dire de Dieu. C'est dans le prolongement de cette " conversion " que l'auteur se prend à imaginer que le troisième millénaire connaîtra une révolution aussi importante que celle de l'invention de l'imprimerie, mais à l'inverse, si les hommes arrivent à s'étonner non plus de penser et d'écrire, mais, à l'image de Celui qui dit et les choses sont, de dire à leur tour.
Ce conte est écrit sur des pages au filigrane du Jeu de Mar-Lah-Klem, publié en 1971, jeu sinon éducateur de l'étonnement. Mais le plus important peut-être fut la rencontre de l'auteur avec saint Grégoire de Nazianze dans Le Dit de sa vie, où prit naissance ce qu'il appelle lui-même une " conversion ", quand l'amour des livres et des idées commença de s'effacer derrière celui du langage et, très particulièrement, derrière celui de La Sainte Ecriture, dont le mystère n'est pas celui d'une pensée divine, mais du Dire de Dieu. C'est dans le prolongement de cette " conversion " que l'auteur se prend à imaginer que le troisième millénaire connaîtra une révolution aussi importante que celle de l'invention de l'imprimerie, mais à l'inverse, si les hommes arrivent à s'étonner non plus de penser et d'écrire, mais, à l'image de Celui qui dit et les choses sont, de dire à leur tour.
Claude Martingay a exercé le métier de libraire, a fondé les Editions Ad solem en 1969, dont le but était de publier des écrits issus de l'expérience spirituelle et qui trouvaient difficilement une place chez les éditeurs religieux de l'époque.
Tout en vendant et publiant les livres d'autrui, il en écrivit lui-même quelques-uns, parmi lesquels il faut citer Le Conte du huitième jour, qui est la tentative de reconstituer l'image du puzzle dont les moments d'une existence sont les pièces éparpillées dans la mémoire.
Ce conte est écrit sur des pages au filigrane du Jeu de Mar-Lah-Klem, publié en 1971, jeu sinon éducateur de l'étonnement. Mais le plus important peut-être fut la rencontre de l'auteur avec saint Grégoire de Nazianze dans Le Dit de sa vie, où prit naissance ce qu'il appelle lui-même une " conversion ", quand l'amour des livres et des idées commença de s'effacer derrière celui du langage et, très particulièrement, derrière celui de La Sainte Ecriture, dont le mystère n'est pas celui d'une pensée divine, mais du Dire de Dieu. C'est dans le prolongement de cette " conversion " que l'auteur se prend à imaginer que le troisième millénaire connaîtra une révolution aussi importante que celle de l'invention de l'imprimerie, mais à l'inverse, si les hommes arrivent à s'étonner non plus de penser et d'écrire, mais, à l'image de Celui qui dit et les choses sont, de dire à leur tour.
Ce conte est écrit sur des pages au filigrane du Jeu de Mar-Lah-Klem, publié en 1971, jeu sinon éducateur de l'étonnement. Mais le plus important peut-être fut la rencontre de l'auteur avec saint Grégoire de Nazianze dans Le Dit de sa vie, où prit naissance ce qu'il appelle lui-même une " conversion ", quand l'amour des livres et des idées commença de s'effacer derrière celui du langage et, très particulièrement, derrière celui de La Sainte Ecriture, dont le mystère n'est pas celui d'une pensée divine, mais du Dire de Dieu. C'est dans le prolongement de cette " conversion " que l'auteur se prend à imaginer que le troisième millénaire connaîtra une révolution aussi importante que celle de l'invention de l'imprimerie, mais à l'inverse, si les hommes arrivent à s'étonner non plus de penser et d'écrire, mais, à l'image de Celui qui dit et les choses sont, de dire à leur tour.