Entre ciel et terre. La mort et son dépassement dans le monde hispanique

Par : Daniel Lecler, Patricia Rochwert-Zuili

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages458
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-336-34083-8
  • EAN9782336340838
  • Date de parution01/03/2014
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille9 Mo
  • ÉditeurIndigo

Résumé

S'il appartient à chacun selon sa sensibilité, ses doutes, ses convictions, sa foi, d'appréhender la disparition des autres, de l'autre ou bien de soi, la mort apparaît, le plus souvent, dans l'imaginaire occidental, comme une étape, un passage. En effet, l'homme n'a cessé de chercher à combler, à imaginer, mais aussi à construire cet espace de la coupure entre ici-bas et au-delà afin d'établir sinon une continuité, du moins des liens entre les deux mondes.
Face à une éternité acquise, improbable ou hypothétique, mais uniquement possible par la mort, le concept de continuité se pose d'emblée comme une quête, une recherche dont le but avoué serait de mettre en échec la disparition et, par là même, l'effacement que dicte le passage du temps. Dans ce combat, le travail de mémoire s'avère essentiel, l'art, les coutumes et les rites fondamentaux.
S'il appartient à chacun selon sa sensibilité, ses doutes, ses convictions, sa foi, d'appréhender la disparition des autres, de l'autre ou bien de soi, la mort apparaît, le plus souvent, dans l'imaginaire occidental, comme une étape, un passage. En effet, l'homme n'a cessé de chercher à combler, à imaginer, mais aussi à construire cet espace de la coupure entre ici-bas et au-delà afin d'établir sinon une continuité, du moins des liens entre les deux mondes.
Face à une éternité acquise, improbable ou hypothétique, mais uniquement possible par la mort, le concept de continuité se pose d'emblée comme une quête, une recherche dont le but avoué serait de mettre en échec la disparition et, par là même, l'effacement que dicte le passage du temps. Dans ce combat, le travail de mémoire s'avère essentiel, l'art, les coutumes et les rites fondamentaux.