Enterrer la haine et la vengeance. Un destin libanais
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- Nombre de pages192
- FormatePub
- ISBN978-2-226-21155-2
- EAN9782226211552
- Date de parution07/10/2009
- Protection num.Adobe DRM
- Taille648 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Dans ce monde proche-oriental où les vérités sont si dangereuses à dire, Ghassan Tuéni est un homme libre. Il l'a prouvé tout au long de sa vie à la tête d'An-Nahar dont il a fait le premier quotidien en langue arabe par sa diffusion et le symbole reconnu par tous du dialogue des cultures et des croyances. Entré en politique à vingt-quatre ans, tour à tour député, vice-président à la Chambre, ministre, ambassadeur auprès des Nations unies, où il s'est battu pour défendre l'intégrité et l'indépendance du Liban, il a contribué à renouveler et à moraliser la vie politique de son pays.
Faiseur et défaiseur de présidents et de gouvernements, il s'est servi de sa tribune d'éditorialiste pour tenter d'imposer auprès de toutes les communautés religieuses le devoir de « vivre ensemble », qui est sans doute sa contribution la plus essentielle à l'histoire du Liban moderne et à celle de toute la région. Citoyen et journaliste engagé, il a pourtant payé au prix fort cette passion de servir la vérité.
L'assassinat de son fils Gébran, le 12 décembre 2005, dernier en date d'une longue série de drames qui ont endeuillé sa vie, a rappelé à tous les Libanais, à tous les hommes de bonne volonté, l'extraordinaire courage et dévouement dont avait fait preuve celui qui a fini par devenir, aux yeux de tous, la conscience de son pays. Dans ces pages poignantes, Ghassan Tuéni retrace son parcours et révèle, pour la première fois, la manière dont il a puisé dans les drames et les douleurs de sa vie la force de demeurer un homme de pardon.
Faiseur et défaiseur de présidents et de gouvernements, il s'est servi de sa tribune d'éditorialiste pour tenter d'imposer auprès de toutes les communautés religieuses le devoir de « vivre ensemble », qui est sans doute sa contribution la plus essentielle à l'histoire du Liban moderne et à celle de toute la région. Citoyen et journaliste engagé, il a pourtant payé au prix fort cette passion de servir la vérité.
L'assassinat de son fils Gébran, le 12 décembre 2005, dernier en date d'une longue série de drames qui ont endeuillé sa vie, a rappelé à tous les Libanais, à tous les hommes de bonne volonté, l'extraordinaire courage et dévouement dont avait fait preuve celui qui a fini par devenir, aux yeux de tous, la conscience de son pays. Dans ces pages poignantes, Ghassan Tuéni retrace son parcours et révèle, pour la première fois, la manière dont il a puisé dans les drames et les douleurs de sa vie la force de demeurer un homme de pardon.
Dans ce monde proche-oriental où les vérités sont si dangereuses à dire, Ghassan Tuéni est un homme libre. Il l'a prouvé tout au long de sa vie à la tête d'An-Nahar dont il a fait le premier quotidien en langue arabe par sa diffusion et le symbole reconnu par tous du dialogue des cultures et des croyances. Entré en politique à vingt-quatre ans, tour à tour député, vice-président à la Chambre, ministre, ambassadeur auprès des Nations unies, où il s'est battu pour défendre l'intégrité et l'indépendance du Liban, il a contribué à renouveler et à moraliser la vie politique de son pays.
Faiseur et défaiseur de présidents et de gouvernements, il s'est servi de sa tribune d'éditorialiste pour tenter d'imposer auprès de toutes les communautés religieuses le devoir de « vivre ensemble », qui est sans doute sa contribution la plus essentielle à l'histoire du Liban moderne et à celle de toute la région. Citoyen et journaliste engagé, il a pourtant payé au prix fort cette passion de servir la vérité.
L'assassinat de son fils Gébran, le 12 décembre 2005, dernier en date d'une longue série de drames qui ont endeuillé sa vie, a rappelé à tous les Libanais, à tous les hommes de bonne volonté, l'extraordinaire courage et dévouement dont avait fait preuve celui qui a fini par devenir, aux yeux de tous, la conscience de son pays. Dans ces pages poignantes, Ghassan Tuéni retrace son parcours et révèle, pour la première fois, la manière dont il a puisé dans les drames et les douleurs de sa vie la force de demeurer un homme de pardon.
Faiseur et défaiseur de présidents et de gouvernements, il s'est servi de sa tribune d'éditorialiste pour tenter d'imposer auprès de toutes les communautés religieuses le devoir de « vivre ensemble », qui est sans doute sa contribution la plus essentielle à l'histoire du Liban moderne et à celle de toute la région. Citoyen et journaliste engagé, il a pourtant payé au prix fort cette passion de servir la vérité.
L'assassinat de son fils Gébran, le 12 décembre 2005, dernier en date d'une longue série de drames qui ont endeuillé sa vie, a rappelé à tous les Libanais, à tous les hommes de bonne volonté, l'extraordinaire courage et dévouement dont avait fait preuve celui qui a fini par devenir, aux yeux de tous, la conscience de son pays. Dans ces pages poignantes, Ghassan Tuéni retrace son parcours et révèle, pour la première fois, la manière dont il a puisé dans les drames et les douleurs de sa vie la force de demeurer un homme de pardon.