Enluminures

Par : Michèle Henry-Boisseau

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages207
  • FormatePub
  • ISBN2-402-07120-6
  • EAN9782402071208
  • Date de parution01/01/1999
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille471 Ko
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Apol...

Résumé

Dans les jardins médiévaux de l'abbaye, une femme cueille des brassées de plantes aromatiques qu'elle dépose près de Jean l'enlumineur, penché sur son écritoire. C'est là que s'est réfugiée Lucinda, loin de Paris, loin de Charles et de ses pitoyables manouvres pour adoucir une rupture sordide. La naissance d'Aurore, qui pourrait être la fille de Cédric, le tailleur de pierre mort trop tôt, ou peut-être de Charles, aide Lucinda à revivre.
Elle réjouit aussi l'ami enlumineur qui fait chanter les couleurs de ses miniatures pour oublier son infirmité et pour la plus grande joie de l'enfant en manque de père. Pour la femme trop possessive, prompte à haïr autant qu'à aimer, trop tourmentée pour savoir profiter du bonheur simple et de l'affection des siens, l'équilibre est précaire. Bientôt, la mort rôde autour de Lucinda et de l'abbaye.
La neige recouvre les toits du village. Désertes les rues, vide de fidèles l'église glaciale où Lucinda est venue s'aventurer comme on se noie, non pour être sauvée mais pour s'abandonner. Un long moment, elle reste sur le banc de bois ; trente ans de vie lui reviennent en mémoire, enfance neutre, adolescence de fureur rentrée, pour ne pas laisser percer le caractère. Trente ans d'une existence insatisfaisante qu'elle n'a su mener qu'à coups d'erreurs irréparables.
Il faut s'arrêter et mourir là peut-être, dans ce village inconnu ; mais mourir non plus elle ne saurait pas. Elle quitte l'église avec le sentiment de s'être fourvoyée une fois encore. Sur le parvis, elle hésite. Et puis, dans la ruelle sombre, un rayon de soleil perce le ciel bas et illumine l'enseigne de la boutique comme la révélation d'un bonheur possible, à portée de main. Les bleus, les ors, les rouges et les verts éclatent dans ce prénom si simple Jean, suivi de sa qualité, enlumineur.
Dans les jardins médiévaux de l'abbaye, une femme cueille des brassées de plantes aromatiques qu'elle dépose près de Jean l'enlumineur, penché sur son écritoire. C'est là que s'est réfugiée Lucinda, loin de Paris, loin de Charles et de ses pitoyables manouvres pour adoucir une rupture sordide. La naissance d'Aurore, qui pourrait être la fille de Cédric, le tailleur de pierre mort trop tôt, ou peut-être de Charles, aide Lucinda à revivre.
Elle réjouit aussi l'ami enlumineur qui fait chanter les couleurs de ses miniatures pour oublier son infirmité et pour la plus grande joie de l'enfant en manque de père. Pour la femme trop possessive, prompte à haïr autant qu'à aimer, trop tourmentée pour savoir profiter du bonheur simple et de l'affection des siens, l'équilibre est précaire. Bientôt, la mort rôde autour de Lucinda et de l'abbaye.
La neige recouvre les toits du village. Désertes les rues, vide de fidèles l'église glaciale où Lucinda est venue s'aventurer comme on se noie, non pour être sauvée mais pour s'abandonner. Un long moment, elle reste sur le banc de bois ; trente ans de vie lui reviennent en mémoire, enfance neutre, adolescence de fureur rentrée, pour ne pas laisser percer le caractère. Trente ans d'une existence insatisfaisante qu'elle n'a su mener qu'à coups d'erreurs irréparables.
Il faut s'arrêter et mourir là peut-être, dans ce village inconnu ; mais mourir non plus elle ne saurait pas. Elle quitte l'église avec le sentiment de s'être fourvoyée une fois encore. Sur le parvis, elle hésite. Et puis, dans la ruelle sombre, un rayon de soleil perce le ciel bas et illumine l'enseigne de la boutique comme la révélation d'un bonheur possible, à portée de main. Les bleus, les ors, les rouges et les verts éclatent dans ce prénom si simple Jean, suivi de sa qualité, enlumineur.
Enluminures
Michèle Henry-Boisseau
E-book
7,49 €
Claire-Obscure
Michèle Henry-Boisseau, Pascal Chipot
E-book
7,49 €
Claire-Obscure
Michèle Henry-Boisseau, Pascal Chipot
E-book
7,49 €