Encore une guerre de retard ?. Un officier d'active ose parler
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- Nombre de pages308
- FormatePub
- ISBN2-402-28017-4
- EAN9782402280174
- Date de parution01/01/1992
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Albi...
Résumé
24 février 1991. Dans le désert d'Arabie Saoudite l'attaque aéroterrestre des alliés contre les troupes irakiennes va commencer. A Paris, dans les sous-sols de « l'îlot Saint-Germain », au cour du Centre opérationnel des armées, veillent les « gardiens du Temple ». Un groupe d'officiers se relaient 24 heures sur 24 pour suivre les événements et conduire la manouvre. L'un d'eux, le lieutenant-colonel de Richoufftz, témoigne.
Au-delà de l'atmosphère irréelle de ce poste de commandement, du ballet des officiels et des perturbations générées par les informations non contrôlées déversées en permanence par les médias, le récit, non dénué d'humour, d'Emmanuel de Richoufftz nous entraîne dans une réflexion sur le système militaire français vu de l'intérieur. Et si la guerre du Golfe avait fait la preuve que notre organisation militaire est inadaptée ? Si, une nouvelle fois, nous avions une guerre de retard ? Devant cette question qui n'est pas sans rappeler les angoissantes mises en garde lancées il y a plus d'un demi-siècle par le colonel de Gaulle, nul n'a le droit de faire la sourde oreille.
Au-delà de l'atmosphère irréelle de ce poste de commandement, du ballet des officiels et des perturbations générées par les informations non contrôlées déversées en permanence par les médias, le récit, non dénué d'humour, d'Emmanuel de Richoufftz nous entraîne dans une réflexion sur le système militaire français vu de l'intérieur. Et si la guerre du Golfe avait fait la preuve que notre organisation militaire est inadaptée ? Si, une nouvelle fois, nous avions une guerre de retard ? Devant cette question qui n'est pas sans rappeler les angoissantes mises en garde lancées il y a plus d'un demi-siècle par le colonel de Gaulle, nul n'a le droit de faire la sourde oreille.
24 février 1991. Dans le désert d'Arabie Saoudite l'attaque aéroterrestre des alliés contre les troupes irakiennes va commencer. A Paris, dans les sous-sols de « l'îlot Saint-Germain », au cour du Centre opérationnel des armées, veillent les « gardiens du Temple ». Un groupe d'officiers se relaient 24 heures sur 24 pour suivre les événements et conduire la manouvre. L'un d'eux, le lieutenant-colonel de Richoufftz, témoigne.
Au-delà de l'atmosphère irréelle de ce poste de commandement, du ballet des officiels et des perturbations générées par les informations non contrôlées déversées en permanence par les médias, le récit, non dénué d'humour, d'Emmanuel de Richoufftz nous entraîne dans une réflexion sur le système militaire français vu de l'intérieur. Et si la guerre du Golfe avait fait la preuve que notre organisation militaire est inadaptée ? Si, une nouvelle fois, nous avions une guerre de retard ? Devant cette question qui n'est pas sans rappeler les angoissantes mises en garde lancées il y a plus d'un demi-siècle par le colonel de Gaulle, nul n'a le droit de faire la sourde oreille.
Au-delà de l'atmosphère irréelle de ce poste de commandement, du ballet des officiels et des perturbations générées par les informations non contrôlées déversées en permanence par les médias, le récit, non dénué d'humour, d'Emmanuel de Richoufftz nous entraîne dans une réflexion sur le système militaire français vu de l'intérieur. Et si la guerre du Golfe avait fait la preuve que notre organisation militaire est inadaptée ? Si, une nouvelle fois, nous avions une guerre de retard ? Devant cette question qui n'est pas sans rappeler les angoissantes mises en garde lancées il y a plus d'un demi-siècle par le colonel de Gaulle, nul n'a le droit de faire la sourde oreille.