En tête à tête avec Orson. Conversation entre Orson Welles et Henry Jaglom
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- Nombre de pages328
- FormatePub
- ISBN978-2-221-15952-1
- EAN9782221159521
- Date de parution09/04/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurRobert Laffont
- TraducteurBernard Cohen
Résumé
Pendant deux ans, de 1983 à 1985, Orson Welles et Henry Jaglom ont déjeuné ensemble chaque semaine au restaurant Ma Maison, à Hollywood. Welles avait l'intention d'écrire son autobiographie à partir de ces entretiens mais il est mort avant d'avoir achevé ce travail, et les enregistrements de ces déjeuners sont restés au fond d'une boîte à chaussures pendant plus de vingt-cinq ans... Devant l'opiniâtreté de Peter Biskind, l'auteur du Nouvel Hollywood, Henry Jaglom a fini par accepter de lui confier ces cassettes, et de publier leur contenu.
Ces conversations à bâtons rompus, fréquemment perturbées par des personnalités venant saluer les deux hommes ou par des considérations sur le menu, brossent une peinture très réaliste de l'homme excessif qu'était Orson Welles : un provocateur pouvant tenir les pires propos sur les femmes, sur les Irlandais et les Hongrois, sur la politique et la France, sur les acteurs..., mais également un homme d'esprit, séducteur, lucide sur son génie et son sale caractère, désabusé par l'industrie du cinéma.
" Ces conversations étincellent d'intelligence, de souvenirs, d'espièglerie, et sont par-dessus tout une prouesse d'interprétation, avec Orson Welles dans le rôle d'Orson Welles.
" Michael Wood " Addictif et réjouissant. "Vanity Fair
" Michael Wood " Addictif et réjouissant. "Vanity Fair
Pendant deux ans, de 1983 à 1985, Orson Welles et Henry Jaglom ont déjeuné ensemble chaque semaine au restaurant Ma Maison, à Hollywood. Welles avait l'intention d'écrire son autobiographie à partir de ces entretiens mais il est mort avant d'avoir achevé ce travail, et les enregistrements de ces déjeuners sont restés au fond d'une boîte à chaussures pendant plus de vingt-cinq ans... Devant l'opiniâtreté de Peter Biskind, l'auteur du Nouvel Hollywood, Henry Jaglom a fini par accepter de lui confier ces cassettes, et de publier leur contenu.
Ces conversations à bâtons rompus, fréquemment perturbées par des personnalités venant saluer les deux hommes ou par des considérations sur le menu, brossent une peinture très réaliste de l'homme excessif qu'était Orson Welles : un provocateur pouvant tenir les pires propos sur les femmes, sur les Irlandais et les Hongrois, sur la politique et la France, sur les acteurs..., mais également un homme d'esprit, séducteur, lucide sur son génie et son sale caractère, désabusé par l'industrie du cinéma.
" Ces conversations étincellent d'intelligence, de souvenirs, d'espièglerie, et sont par-dessus tout une prouesse d'interprétation, avec Orson Welles dans le rôle d'Orson Welles.
" Michael Wood " Addictif et réjouissant. "Vanity Fair
" Michael Wood " Addictif et réjouissant. "Vanity Fair