En finir avec les idées fausses sur les métiers manuels et l'artisanat
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- Nombre de pages256
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7082-5557-9
- EAN9782708255579
- Date de parution22/08/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurÉditions de l'Atelier
Résumé
« L'apprentissage, c'est une voie de garage »
« Les artisans ne sont pas innovants »
« Nos savoir-faire seront pillés par la Chine »
« Être artisan, c'est être seul dans son atelier »
« La transition écologique, c'est pas du bricolage »
La place que nous donnons au travail manuel et à l'artisanat dans nos vies, et dans notre société, est loin d'être anodine. Cloisonner les métiers manuels à un unique enjeu de patrimoine et de préservation de nos savoir-faire, comme ce fut le cas lors des réparations de Notre-Dame de Paris par exemple, est une aberration.
Entre les images d'Épinal et le discours chauviniste, la réalité des métiers manuels se retrouve gommée. Pourtant, ils représentent des leviers essentiels pour construire le monde de demain. Valoriser les savoir-faire manuels, c'est offrir à la jeunesse une nouvelle manière de s'épanouir à l'école et dans la vie professionnelle, c'est stimuler la vie sociale et économiques des territoires, mais c'est aussi un moyen de favoriser la transition écologique en changeant nos modes de consommation et notre rapport au monde.
Entre les images d'Épinal et le discours chauviniste, la réalité des métiers manuels se retrouve gommée. Pourtant, ils représentent des leviers essentiels pour construire le monde de demain. Valoriser les savoir-faire manuels, c'est offrir à la jeunesse une nouvelle manière de s'épanouir à l'école et dans la vie professionnelle, c'est stimuler la vie sociale et économiques des territoires, mais c'est aussi un moyen de favoriser la transition écologique en changeant nos modes de consommation et notre rapport au monde.
« L'apprentissage, c'est une voie de garage »
« Les artisans ne sont pas innovants »
« Nos savoir-faire seront pillés par la Chine »
« Être artisan, c'est être seul dans son atelier »
« La transition écologique, c'est pas du bricolage »
La place que nous donnons au travail manuel et à l'artisanat dans nos vies, et dans notre société, est loin d'être anodine. Cloisonner les métiers manuels à un unique enjeu de patrimoine et de préservation de nos savoir-faire, comme ce fut le cas lors des réparations de Notre-Dame de Paris par exemple, est une aberration.
Entre les images d'Épinal et le discours chauviniste, la réalité des métiers manuels se retrouve gommée. Pourtant, ils représentent des leviers essentiels pour construire le monde de demain. Valoriser les savoir-faire manuels, c'est offrir à la jeunesse une nouvelle manière de s'épanouir à l'école et dans la vie professionnelle, c'est stimuler la vie sociale et économiques des territoires, mais c'est aussi un moyen de favoriser la transition écologique en changeant nos modes de consommation et notre rapport au monde.
Entre les images d'Épinal et le discours chauviniste, la réalité des métiers manuels se retrouve gommée. Pourtant, ils représentent des leviers essentiels pour construire le monde de demain. Valoriser les savoir-faire manuels, c'est offrir à la jeunesse une nouvelle manière de s'épanouir à l'école et dans la vie professionnelle, c'est stimuler la vie sociale et économiques des territoires, mais c'est aussi un moyen de favoriser la transition écologique en changeant nos modes de consommation et notre rapport au monde.