Empreintes rouges. Nouvelles perspectives pour l'histoire du communisme français

Par : Dimitri Manessis, Guillaume Roubaud-Quashie
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  • Nombre de pages240
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7535-8885-1
  • EAN9782753588851
  • Date de parution12/10/2022
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Rennes

Résumé

Le point de départ est ici formé par les empreintes laissées par la mouvance communiste sur la société française, forgeant une culture populaire, capable à la fois d'intégrer - pour une part - exclus et marginaux, de faire pleine place politique à la classe ouvrière - et, au-delà, à tout un petit peuple des villes et des campagnes -, d'associer nombre d'artistes et d'intellectuels et de rassembler ces acteurs politiques singuliers dans des structures, des mouvements, des projets.
Mais si le communisme a laissé des empreintes sur la société, c'est aussi parce qu'il a été investi par des acteurs sociaux qui l'ont identifié comme vecteur et support possible d'une politique populaire. L'empreinte communiste se fait ainsi, nécessairement, double : la spécificité du « parti de type nouveau » dialogue avec des héritages et des aspirations populaires tantôt intégrés, accolés, métamorphosés ou dépassés dans ces rencontres.
Elle est aussi polymorphe, en ce qu'elle mêle tout autant des thèses identifiées comme politiques que des répertoires d'action, des symboles que des méthodes, des idées, des pratiques et des affects. Elle constitue enfin un objet qui fait problème, en ce que son spectre court de l'immédiatement identifié - voire revendiqué - jusqu'au labile, l'oublié, le nié. C'est une « nouvelle histoire » du communisme en train de se faire que propose cet ouvrage.
Parallèlement, l'éclairage d'archivistes donne à voir une partie des nouveaux possibles en matière de sources.
Le point de départ est ici formé par les empreintes laissées par la mouvance communiste sur la société française, forgeant une culture populaire, capable à la fois d'intégrer - pour une part - exclus et marginaux, de faire pleine place politique à la classe ouvrière - et, au-delà, à tout un petit peuple des villes et des campagnes -, d'associer nombre d'artistes et d'intellectuels et de rassembler ces acteurs politiques singuliers dans des structures, des mouvements, des projets.
Mais si le communisme a laissé des empreintes sur la société, c'est aussi parce qu'il a été investi par des acteurs sociaux qui l'ont identifié comme vecteur et support possible d'une politique populaire. L'empreinte communiste se fait ainsi, nécessairement, double : la spécificité du « parti de type nouveau » dialogue avec des héritages et des aspirations populaires tantôt intégrés, accolés, métamorphosés ou dépassés dans ces rencontres.
Elle est aussi polymorphe, en ce qu'elle mêle tout autant des thèses identifiées comme politiques que des répertoires d'action, des symboles que des méthodes, des idées, des pratiques et des affects. Elle constitue enfin un objet qui fait problème, en ce que son spectre court de l'immédiatement identifié - voire revendiqué - jusqu'au labile, l'oublié, le nié. C'est une « nouvelle histoire » du communisme en train de se faire que propose cet ouvrage.
Parallèlement, l'éclairage d'archivistes donne à voir une partie des nouveaux possibles en matière de sources.