Elissa, la reine vagabonde
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- Nombre de pages192
- FormatePub
- ISBN2-02-127129-3
- EAN9782021271294
- Date de parution01/01/1990
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille40 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurSeuil (réédition numérique FeniX...
Résumé
Avec dix navires, une centaine d'hommes et vingt-sept vierges, Elissa, la reine vagabonde, sillonne la Méditerranée huit siècles avant Jésus-Christ. Fuyant Tyr la capitale phénicienne, fuyant Pygmalion son frère et l'effrayant secret qui les unit, Elissa, souveraine obstinée d'une nation en exil, navigue en quête d'une ville et d'un royaume. Ce sera Carthage... Dans une longue lettre à son frère c'est Elissa elle-même, que Virgile et Dante appelaient l'infortunée Didon, qui raconte son fabuleux voyage et les mythes meurtriers qui lui font escorte.
Le narrateur-traducteur de cette lettre inouïe prétend déchiffrer ici deux cent cinquante stèles puniques découvertes en 1874 et conservées par son grand-père. Mais peut-être s'est-il laissé envoûter par Elissa, au point de lui prêter sa propre imagination ? Cette lettre est un peu la mienne, avoue-t-il,... je ne distingue plus moi-même ce qui est traduit de ce qui est inventé.
Le narrateur-traducteur de cette lettre inouïe prétend déchiffrer ici deux cent cinquante stèles puniques découvertes en 1874 et conservées par son grand-père. Mais peut-être s'est-il laissé envoûter par Elissa, au point de lui prêter sa propre imagination ? Cette lettre est un peu la mienne, avoue-t-il,... je ne distingue plus moi-même ce qui est traduit de ce qui est inventé.
Avec dix navires, une centaine d'hommes et vingt-sept vierges, Elissa, la reine vagabonde, sillonne la Méditerranée huit siècles avant Jésus-Christ. Fuyant Tyr la capitale phénicienne, fuyant Pygmalion son frère et l'effrayant secret qui les unit, Elissa, souveraine obstinée d'une nation en exil, navigue en quête d'une ville et d'un royaume. Ce sera Carthage... Dans une longue lettre à son frère c'est Elissa elle-même, que Virgile et Dante appelaient l'infortunée Didon, qui raconte son fabuleux voyage et les mythes meurtriers qui lui font escorte.
Le narrateur-traducteur de cette lettre inouïe prétend déchiffrer ici deux cent cinquante stèles puniques découvertes en 1874 et conservées par son grand-père. Mais peut-être s'est-il laissé envoûter par Elissa, au point de lui prêter sa propre imagination ? Cette lettre est un peu la mienne, avoue-t-il,... je ne distingue plus moi-même ce qui est traduit de ce qui est inventé.
Le narrateur-traducteur de cette lettre inouïe prétend déchiffrer ici deux cent cinquante stèles puniques découvertes en 1874 et conservées par son grand-père. Mais peut-être s'est-il laissé envoûter par Elissa, au point de lui prêter sa propre imagination ? Cette lettre est un peu la mienne, avoue-t-il,... je ne distingue plus moi-même ce qui est traduit de ce qui est inventé.