Eléments de statistique humaine ou démographie comparée
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- Nombre de pages393
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7332-9044-6
- EAN9782733290446
- Date de parution24/01/2023
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurIned Éditions via OpenEdition
Résumé
Cet ouvrage est la réédition d'un texte paru pour la première fois en 1855 par le naturaliste et démographe Achille Guillard. Pour l'histoire des sciences et de la démographie, les Éléments de statistique humaine ou démographie comparée est un ouvrage resté relativement méconnu, qui introduit pour la première fois le terme « démographie », conçue notamment comme une science indispensable à la connaissance de la société humaine.
Dès l'avant-propos de ses Éléments, Guillard précise l'objet de la science de la population qu'il conçoit d'une manière très large. Il en circonscrit en détail le domaine, qui est de « s'occuper des hommes, de leur état encore précaire, de leurs progrès encore contestés, des lois physiologiques qui les régissent, des lois sociales qui les doivent régir, de l'économie des forces humaines qui est de théorie, et de leur dissipation qui est de fait, de la liberté et de la servitude, du travail obligatoire et du repos mérité, du bien-être par hérédité, de la misère par ignorance, de la naissance et de la mort, de l'argent et du sang, de l'agriculture, du commerce, du gouvernement, de l'industrie, et de quelques autres géhennes ».
Guillard propose donc une définition large de cette discipline, incluant notamment la considération de phénomènes d'ordre culturel comme le niveau intellectuel ou moral des individus. S'interrogeant sur la place de la démographie par rapport à la science, il soutient « qu'elle en doit être le tronc » ou « le réservoir commun où doivent confluer tous les courants de la statistique ». Édition en fac-similé présentée par Jean-Marc Rohrbasser et Jacques Véron.
Dès l'avant-propos de ses Éléments, Guillard précise l'objet de la science de la population qu'il conçoit d'une manière très large. Il en circonscrit en détail le domaine, qui est de « s'occuper des hommes, de leur état encore précaire, de leurs progrès encore contestés, des lois physiologiques qui les régissent, des lois sociales qui les doivent régir, de l'économie des forces humaines qui est de théorie, et de leur dissipation qui est de fait, de la liberté et de la servitude, du travail obligatoire et du repos mérité, du bien-être par hérédité, de la misère par ignorance, de la naissance et de la mort, de l'argent et du sang, de l'agriculture, du commerce, du gouvernement, de l'industrie, et de quelques autres géhennes ».
Guillard propose donc une définition large de cette discipline, incluant notamment la considération de phénomènes d'ordre culturel comme le niveau intellectuel ou moral des individus. S'interrogeant sur la place de la démographie par rapport à la science, il soutient « qu'elle en doit être le tronc » ou « le réservoir commun où doivent confluer tous les courants de la statistique ». Édition en fac-similé présentée par Jean-Marc Rohrbasser et Jacques Véron.
Cet ouvrage est la réédition d'un texte paru pour la première fois en 1855 par le naturaliste et démographe Achille Guillard. Pour l'histoire des sciences et de la démographie, les Éléments de statistique humaine ou démographie comparée est un ouvrage resté relativement méconnu, qui introduit pour la première fois le terme « démographie », conçue notamment comme une science indispensable à la connaissance de la société humaine.
Dès l'avant-propos de ses Éléments, Guillard précise l'objet de la science de la population qu'il conçoit d'une manière très large. Il en circonscrit en détail le domaine, qui est de « s'occuper des hommes, de leur état encore précaire, de leurs progrès encore contestés, des lois physiologiques qui les régissent, des lois sociales qui les doivent régir, de l'économie des forces humaines qui est de théorie, et de leur dissipation qui est de fait, de la liberté et de la servitude, du travail obligatoire et du repos mérité, du bien-être par hérédité, de la misère par ignorance, de la naissance et de la mort, de l'argent et du sang, de l'agriculture, du commerce, du gouvernement, de l'industrie, et de quelques autres géhennes ».
Guillard propose donc une définition large de cette discipline, incluant notamment la considération de phénomènes d'ordre culturel comme le niveau intellectuel ou moral des individus. S'interrogeant sur la place de la démographie par rapport à la science, il soutient « qu'elle en doit être le tronc » ou « le réservoir commun où doivent confluer tous les courants de la statistique ». Édition en fac-similé présentée par Jean-Marc Rohrbasser et Jacques Véron.
Dès l'avant-propos de ses Éléments, Guillard précise l'objet de la science de la population qu'il conçoit d'une manière très large. Il en circonscrit en détail le domaine, qui est de « s'occuper des hommes, de leur état encore précaire, de leurs progrès encore contestés, des lois physiologiques qui les régissent, des lois sociales qui les doivent régir, de l'économie des forces humaines qui est de théorie, et de leur dissipation qui est de fait, de la liberté et de la servitude, du travail obligatoire et du repos mérité, du bien-être par hérédité, de la misère par ignorance, de la naissance et de la mort, de l'argent et du sang, de l'agriculture, du commerce, du gouvernement, de l'industrie, et de quelques autres géhennes ».
Guillard propose donc une définition large de cette discipline, incluant notamment la considération de phénomènes d'ordre culturel comme le niveau intellectuel ou moral des individus. S'interrogeant sur la place de la démographie par rapport à la science, il soutient « qu'elle en doit être le tronc » ou « le réservoir commun où doivent confluer tous les courants de la statistique ». Édition en fac-similé présentée par Jean-Marc Rohrbasser et Jacques Véron.