Eléments d'esthétique cognitiviste

Par : Marcin Sobieszczanski

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  • Nombre de pages352
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-41324-2
  • EAN9782296413245
  • Date de parution01/10/2000
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille12 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Les rapports entre l'art et les sciences de la perception font l'objet de nombreux travaux depuis les années vingt. Refaire la même synthèse disciplinaire aujourd'hui reviendrait à inclure dans le champ de l'art les récents acquis des sciences cognitives. Le travail présenté souhaite y contribuer, mais l'auteur a affronté un problème théorique inouï : au lieu de se demander quelle serait la discipline la plus à même de traiter de la perception de l'art, il s'est posé la question de la place de la perception au sein même de l'art pris dans tous ses aspects.
En résulte cet essai d'esthétique cognitiviste où, à travers quelques références philosophiques, on tente l'hypothèse suivante : l'art est perception car son matériau est le monde perçu, sa quête est de rendre présente l'existence de cette perception originale, et son résultat est l'objet destiné à être perçu sous différents modes. Dans les œuvres de Dlubak, Caillaud, Riveiro et Bury, dont les positions dépassent les cadres catégoriels, on considère non les différences des techniques utilisées mais les différences techniques existant parmi les équivalences que ces artistes instituent entre leurs intuitions et leurs techniques monstratives, depuis la peinture et la photographie jusqu'à l'art du numérique. Le cédérom joint à la présente édition offre une approche interactive de travaux des artistes ayant participé à cet ouvrage.
Les rapports entre l'art et les sciences de la perception font l'objet de nombreux travaux depuis les années vingt. Refaire la même synthèse disciplinaire aujourd'hui reviendrait à inclure dans le champ de l'art les récents acquis des sciences cognitives. Le travail présenté souhaite y contribuer, mais l'auteur a affronté un problème théorique inouï : au lieu de se demander quelle serait la discipline la plus à même de traiter de la perception de l'art, il s'est posé la question de la place de la perception au sein même de l'art pris dans tous ses aspects.
En résulte cet essai d'esthétique cognitiviste où, à travers quelques références philosophiques, on tente l'hypothèse suivante : l'art est perception car son matériau est le monde perçu, sa quête est de rendre présente l'existence de cette perception originale, et son résultat est l'objet destiné à être perçu sous différents modes. Dans les œuvres de Dlubak, Caillaud, Riveiro et Bury, dont les positions dépassent les cadres catégoriels, on considère non les différences des techniques utilisées mais les différences techniques existant parmi les équivalences que ces artistes instituent entre leurs intuitions et leurs techniques monstratives, depuis la peinture et la photographie jusqu'à l'art du numérique. Le cédérom joint à la présente édition offre une approche interactive de travaux des artistes ayant participé à cet ouvrage.