Eléments d'esthétique arabo-islamique

Par : Taoufik Chérif

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  • Nombre de pages74
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-39400-0
  • EAN9782296394001
  • Date de parution01/03/2005
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille3 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'étendue spatiale et temporelle de l'art arabo-islamique a toujours constitué la principale difficulté pour les chercheurs, tant historiens de l'art que philosophes esthéticiens. L'art arabo-islamique s'est développé dans un grand ensemble qui s'étend de l'Espagne (Andalousie), vers les pays d'Afrique du nord (Maghreb), la péninsule arabique, la Palestine, le Liban, l'Egypte, la Syrie, l'Asie mineure, la Mésopotamie, la Perse (l'Iran), le Turkestan, et l'Inde.
Si la peinture arabo-islamique est non figurative dans sa quasi-totalité et si la sculpture y est presque inexistante, c'est surtout pour des raisons épistémiques. L'épistémê arabe, entre le VIIe et le XIVe siècle, n'a pas ouvert, contrairement à la Renaissance occidentale, une enquête systématique sur l'homme et la nature. Le statut de l'image et de la figuration gagne à y être abordé par une approche esthétique et " poïétique " : non seulement du point de vue du faire artistique, mais en exploitant les textes théoriques concernant l'art et l'humain dans sa vision du monde spécifique.
De ces difficultés et de cette splendeur, l'auteur de cette étude pénétrante a voulu rendre compte et donner un aperçu lumineux.
L'étendue spatiale et temporelle de l'art arabo-islamique a toujours constitué la principale difficulté pour les chercheurs, tant historiens de l'art que philosophes esthéticiens. L'art arabo-islamique s'est développé dans un grand ensemble qui s'étend de l'Espagne (Andalousie), vers les pays d'Afrique du nord (Maghreb), la péninsule arabique, la Palestine, le Liban, l'Egypte, la Syrie, l'Asie mineure, la Mésopotamie, la Perse (l'Iran), le Turkestan, et l'Inde.
Si la peinture arabo-islamique est non figurative dans sa quasi-totalité et si la sculpture y est presque inexistante, c'est surtout pour des raisons épistémiques. L'épistémê arabe, entre le VIIe et le XIVe siècle, n'a pas ouvert, contrairement à la Renaissance occidentale, une enquête systématique sur l'homme et la nature. Le statut de l'image et de la figuration gagne à y être abordé par une approche esthétique et " poïétique " : non seulement du point de vue du faire artistique, mais en exploitant les textes théoriques concernant l'art et l'humain dans sa vision du monde spécifique.
De ces difficultés et de cette splendeur, l'auteur de cette étude pénétrante a voulu rendre compte et donner un aperçu lumineux.