Prix Nobel de la Paix.
Elégies du 4 juin
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- Nombre de pages108
- FormatePub
- ISBN978-2-07-246627-4
- EAN9782072466274
- Date de parution06/02/2014
- Protection num.Adobe DRM
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions Gallimard
- Préfacier Dalaï-Lama
- TraducteurGuilhem Fabre
Résumé
Surtout connu comme essayiste, critique et combattant pour les droits de l'homme, Liu Xiaobo est un poète à découvrir.
La vie du lauréat du prix Nobel de la paix 2010 a basculé dans la nuit du 4 juin 1989, quand les troupes de la loi martiale ont donné l'assaut au mémorial des héros du peuple, dressé au milieu de la place Tian'anmen, devant le mausolée de Mao, en souvenir des martyrs des révolutions de la première moitié du XXe siècle.
Replié sur les marches de ce lieu hautement symbolique, avec le dernier carré de citadins et d'étudiants grévistes de la faim, il a vécu dans sa chair l'écrasement sanglant du premier soulèvement pacifique de la population chinoise en faveur d'une démocratisation du système politique. La terreur de cette nuit-là ne l'a désormais plus jamais quitté. Liu Xiaobo a choisi de maintenir à sa manière le souvenir du 4 Juin, en rédigeant, à chaque anniversaire de l'événement, un poème à la mémoire des disparus de l'injustice.
Rédigé sur vingt ans, en prison comme en liberté surveillée, l'ensemble de ces vingt élégies ne constitue pas seulement la mémoire d'un monde réduit à l'amnésie, la conscience d'un monde sans conscience, mais un hommage d'une intensité poignante à l'égard des oubliés, des sans-voix.
Replié sur les marches de ce lieu hautement symbolique, avec le dernier carré de citadins et d'étudiants grévistes de la faim, il a vécu dans sa chair l'écrasement sanglant du premier soulèvement pacifique de la population chinoise en faveur d'une démocratisation du système politique. La terreur de cette nuit-là ne l'a désormais plus jamais quitté. Liu Xiaobo a choisi de maintenir à sa manière le souvenir du 4 Juin, en rédigeant, à chaque anniversaire de l'événement, un poème à la mémoire des disparus de l'injustice.
Rédigé sur vingt ans, en prison comme en liberté surveillée, l'ensemble de ces vingt élégies ne constitue pas seulement la mémoire d'un monde réduit à l'amnésie, la conscience d'un monde sans conscience, mais un hommage d'une intensité poignante à l'égard des oubliés, des sans-voix.
Surtout connu comme essayiste, critique et combattant pour les droits de l'homme, Liu Xiaobo est un poète à découvrir.
La vie du lauréat du prix Nobel de la paix 2010 a basculé dans la nuit du 4 juin 1989, quand les troupes de la loi martiale ont donné l'assaut au mémorial des héros du peuple, dressé au milieu de la place Tian'anmen, devant le mausolée de Mao, en souvenir des martyrs des révolutions de la première moitié du XXe siècle.
Replié sur les marches de ce lieu hautement symbolique, avec le dernier carré de citadins et d'étudiants grévistes de la faim, il a vécu dans sa chair l'écrasement sanglant du premier soulèvement pacifique de la population chinoise en faveur d'une démocratisation du système politique. La terreur de cette nuit-là ne l'a désormais plus jamais quitté. Liu Xiaobo a choisi de maintenir à sa manière le souvenir du 4 Juin, en rédigeant, à chaque anniversaire de l'événement, un poème à la mémoire des disparus de l'injustice.
Rédigé sur vingt ans, en prison comme en liberté surveillée, l'ensemble de ces vingt élégies ne constitue pas seulement la mémoire d'un monde réduit à l'amnésie, la conscience d'un monde sans conscience, mais un hommage d'une intensité poignante à l'égard des oubliés, des sans-voix.
Replié sur les marches de ce lieu hautement symbolique, avec le dernier carré de citadins et d'étudiants grévistes de la faim, il a vécu dans sa chair l'écrasement sanglant du premier soulèvement pacifique de la population chinoise en faveur d'une démocratisation du système politique. La terreur de cette nuit-là ne l'a désormais plus jamais quitté. Liu Xiaobo a choisi de maintenir à sa manière le souvenir du 4 Juin, en rédigeant, à chaque anniversaire de l'événement, un poème à la mémoire des disparus de l'injustice.
Rédigé sur vingt ans, en prison comme en liberté surveillée, l'ensemble de ces vingt élégies ne constitue pas seulement la mémoire d'un monde réduit à l'amnésie, la conscience d'un monde sans conscience, mais un hommage d'une intensité poignante à l'égard des oubliés, des sans-voix.