Église et conscience chez J.H. Newman. Commentaire de la lettre au duc de Norfolk
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- Nombre de pages160
- FormatePub
- ISBN978-2-36040-409-4
- EAN9782360404094
- Date de parution17/04/2015
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille413 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurArtège Editions
Résumé
« Si le sacerdoce éternel de l'Église venait à disparaître, le principe sacerdotal survivrait à cette ruine et se poursuivrait, incarné dans la conscience. » Au lieu de mettre en concurrence l'autorité de l'Église et celle de la conscience, John Henry Newman s'est attaché à en montrer les profondes affinités. Reprenant et illustrant dans La lettre au duc de Norfolk la plus classique doctrine de l'Église en la matière, il insiste sur la nature éthico-religieuse de la conscience qui en fait une voie privilégiée de connaissance de Dieu.
Plus encore, la conscience comme l'Église sont à comprendre en intériorité mutuelle et leur autorité comme leur mission en réciprocité. L'autorité de l'Église ne saurait donc menacer celle de la conscience, elle en est au contraire la plus vigilante gardienne car elle reconnaît en elle une certaine préfiguration d'elle-même.
Plus encore, la conscience comme l'Église sont à comprendre en intériorité mutuelle et leur autorité comme leur mission en réciprocité. L'autorité de l'Église ne saurait donc menacer celle de la conscience, elle en est au contraire la plus vigilante gardienne car elle reconnaît en elle une certaine préfiguration d'elle-même.
« Si le sacerdoce éternel de l'Église venait à disparaître, le principe sacerdotal survivrait à cette ruine et se poursuivrait, incarné dans la conscience. » Au lieu de mettre en concurrence l'autorité de l'Église et celle de la conscience, John Henry Newman s'est attaché à en montrer les profondes affinités. Reprenant et illustrant dans La lettre au duc de Norfolk la plus classique doctrine de l'Église en la matière, il insiste sur la nature éthico-religieuse de la conscience qui en fait une voie privilégiée de connaissance de Dieu.
Plus encore, la conscience comme l'Église sont à comprendre en intériorité mutuelle et leur autorité comme leur mission en réciprocité. L'autorité de l'Église ne saurait donc menacer celle de la conscience, elle en est au contraire la plus vigilante gardienne car elle reconnaît en elle une certaine préfiguration d'elle-même.
Plus encore, la conscience comme l'Église sont à comprendre en intériorité mutuelle et leur autorité comme leur mission en réciprocité. L'autorité de l'Église ne saurait donc menacer celle de la conscience, elle en est au contraire la plus vigilante gardienne car elle reconnaît en elle une certaine préfiguration d'elle-même.




