Éducation et cultures du début du XIIe au milieu du XVe siècle

Par : Colette Beaune, Jean-Louis Biget

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  • Nombre de pages382
  • FormatePub
  • ISBN2-7062-0713-2
  • EAN9782706207136
  • Date de parution01/01/1999
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurSedes (réédition numérique FeniX...

Résumé

L'éducation religieuse et morale est due à tous les enfants mais l'accès à la culture intellectuelle est fonction au Moyen Age du rôle que chacun doit jouer dans la société et donc variable suivant l'état (clerc ou laïc), la profession ou le sexe. Entre le début du XIIe s. et le milieu du XVe s., les savoirs s'accrurent, de nouvelles sciences apparurent enseignées par un réseau renouvelé d'écoles urbaines puis d'universités.
La culture savante latine forma les cadres de l'Église et de la société, culmina dans la théologie de Thomas d'Aquin avant d'opter en Italie pour l'humanisme. Parallèlement la culture en vulgaire du monde laïc accéda à l'écriture ; sermons, images des vitraux, gestes des liturgies furent-ils des passerelles entre les deux mondes ? Deux milieux s'avérèrent particulièrement favorables à l'osmose culturelle ; la cour où clercs et chevaliers entouraient le prince et la ville où notaires, médecins ou marchands hésitaient entre pratique et culture écrite.
A partir des années 1350, la multiplication des écoles primaires comme des petites bibliothèques marque l'apparition d'un rapport plus étroit et généralisé à l'écrit. Seuls restent aux marges du consensus éducatif et culturel ceux dont la littera est contestée (Juifs), mauvaise (les hérétiques) ou suspecte (les femmes ou certains milieux populaires).
L'éducation religieuse et morale est due à tous les enfants mais l'accès à la culture intellectuelle est fonction au Moyen Age du rôle que chacun doit jouer dans la société et donc variable suivant l'état (clerc ou laïc), la profession ou le sexe. Entre le début du XIIe s. et le milieu du XVe s., les savoirs s'accrurent, de nouvelles sciences apparurent enseignées par un réseau renouvelé d'écoles urbaines puis d'universités.
La culture savante latine forma les cadres de l'Église et de la société, culmina dans la théologie de Thomas d'Aquin avant d'opter en Italie pour l'humanisme. Parallèlement la culture en vulgaire du monde laïc accéda à l'écriture ; sermons, images des vitraux, gestes des liturgies furent-ils des passerelles entre les deux mondes ? Deux milieux s'avérèrent particulièrement favorables à l'osmose culturelle ; la cour où clercs et chevaliers entouraient le prince et la ville où notaires, médecins ou marchands hésitaient entre pratique et culture écrite.
A partir des années 1350, la multiplication des écoles primaires comme des petites bibliothèques marque l'apparition d'un rapport plus étroit et généralisé à l'écrit. Seuls restent aux marges du consensus éducatif et culturel ceux dont la littera est contestée (Juifs), mauvaise (les hérétiques) ou suspecte (les femmes ou certains milieux populaires).
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