Edouard Marty. Un artiste auvergnat
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- Nombre de pages84
- FormatPDF
- ISBN2-84819-354-9
- EAN9782848193540
- Date de parution01/06/2005
- Protection num.Adobe DRM
- Taille13 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurCréer
- PréfacierPierre-Jean Rémy
Résumé
Écrit à quatre mains par le poète Camille Gandilhon Gens d'Armes et le peintre Victor Fonfreide, enrichi de 54 héliogravures, le présent ouvrage (paru primitivement en 1929) retrace la vie et l'?uvre de l'artiste auvergnat Édouard Marty (1851-1913). On suivra ici le parcours d'un homme modeste, penché sur les vies les plus obscures qu'il éclaire de la générosité de son trait si sensible. Auteur de près de mille portraits (figures réelles ou figures de rêve, souvent énigmatiques, parfois troublantes), il excelle dans cet art.
À l'instar de Cranach ou d'Holbein, toujours il s'attache, « avec une attention extrême et presque exclusive au dessin des yeux, des narines et des lèvres ; pour eux toute l'âme aboutissait là », remarque Édouard Marty, en 1911, déjà atteint par le mal qui l'emportera. À la plume, au lavis ou au crayon..., avec un trait « tour à tour gras et précis, sans lourdeur, souple et aisé » - comme l'on noté ses biographes - , il dessine des vieillards résignés, des jeunes filles « pensives », des jeunes pâtres aux pieds nus, d'intenses autoportraits...
Toujours il revient, au fil des saisons, vers les hauts plateaux ou vers la vallée de la Doire (dans le Cantal, près de Saint-Cernin), paysages originels qu'il peint, y plongeant loin et fort ses racines. L'écriture de Gandilhon Gens d'Armes et celle de Fonfreide jettent de prégnantes lueurs sur Édouard Marty, artiste fraternel, injustement méconnu, dont l'?uvre nous parle à travers une « suggestive puissance ».
François Mary
À l'instar de Cranach ou d'Holbein, toujours il s'attache, « avec une attention extrême et presque exclusive au dessin des yeux, des narines et des lèvres ; pour eux toute l'âme aboutissait là », remarque Édouard Marty, en 1911, déjà atteint par le mal qui l'emportera. À la plume, au lavis ou au crayon..., avec un trait « tour à tour gras et précis, sans lourdeur, souple et aisé » - comme l'on noté ses biographes - , il dessine des vieillards résignés, des jeunes filles « pensives », des jeunes pâtres aux pieds nus, d'intenses autoportraits...
Toujours il revient, au fil des saisons, vers les hauts plateaux ou vers la vallée de la Doire (dans le Cantal, près de Saint-Cernin), paysages originels qu'il peint, y plongeant loin et fort ses racines. L'écriture de Gandilhon Gens d'Armes et celle de Fonfreide jettent de prégnantes lueurs sur Édouard Marty, artiste fraternel, injustement méconnu, dont l'?uvre nous parle à travers une « suggestive puissance ».
François Mary
Écrit à quatre mains par le poète Camille Gandilhon Gens d'Armes et le peintre Victor Fonfreide, enrichi de 54 héliogravures, le présent ouvrage (paru primitivement en 1929) retrace la vie et l'?uvre de l'artiste auvergnat Édouard Marty (1851-1913). On suivra ici le parcours d'un homme modeste, penché sur les vies les plus obscures qu'il éclaire de la générosité de son trait si sensible. Auteur de près de mille portraits (figures réelles ou figures de rêve, souvent énigmatiques, parfois troublantes), il excelle dans cet art.
À l'instar de Cranach ou d'Holbein, toujours il s'attache, « avec une attention extrême et presque exclusive au dessin des yeux, des narines et des lèvres ; pour eux toute l'âme aboutissait là », remarque Édouard Marty, en 1911, déjà atteint par le mal qui l'emportera. À la plume, au lavis ou au crayon..., avec un trait « tour à tour gras et précis, sans lourdeur, souple et aisé » - comme l'on noté ses biographes - , il dessine des vieillards résignés, des jeunes filles « pensives », des jeunes pâtres aux pieds nus, d'intenses autoportraits...
Toujours il revient, au fil des saisons, vers les hauts plateaux ou vers la vallée de la Doire (dans le Cantal, près de Saint-Cernin), paysages originels qu'il peint, y plongeant loin et fort ses racines. L'écriture de Gandilhon Gens d'Armes et celle de Fonfreide jettent de prégnantes lueurs sur Édouard Marty, artiste fraternel, injustement méconnu, dont l'?uvre nous parle à travers une « suggestive puissance ».
François Mary
À l'instar de Cranach ou d'Holbein, toujours il s'attache, « avec une attention extrême et presque exclusive au dessin des yeux, des narines et des lèvres ; pour eux toute l'âme aboutissait là », remarque Édouard Marty, en 1911, déjà atteint par le mal qui l'emportera. À la plume, au lavis ou au crayon..., avec un trait « tour à tour gras et précis, sans lourdeur, souple et aisé » - comme l'on noté ses biographes - , il dessine des vieillards résignés, des jeunes filles « pensives », des jeunes pâtres aux pieds nus, d'intenses autoportraits...
Toujours il revient, au fil des saisons, vers les hauts plateaux ou vers la vallée de la Doire (dans le Cantal, près de Saint-Cernin), paysages originels qu'il peint, y plongeant loin et fort ses racines. L'écriture de Gandilhon Gens d'Armes et celle de Fonfreide jettent de prégnantes lueurs sur Édouard Marty, artiste fraternel, injustement méconnu, dont l'?uvre nous parle à travers une « suggestive puissance ».
François Mary