Écriture, lecture et poésie. Lettrés japonais du 17e au 19e siècle

Par : Marguerite-Marie Parvulesco, Fondation pour l'Étude de la L, Société Franco-Japonaise de Pa, René Sieffert

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  • Nombre de pages284
  • FormatePub
  • ISBN2-307-02525-1
  • EAN9782307025252
  • Date de parution01/01/1991
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Publ...

Résumé

L'écriture chinoise, idéographique, permet de lire en japonais un poème écrit en chinois, d'où l'épanouissement d'une véritable poésie bilingue faisant simultanément référence à deux langues, deux cultures, deux esthétiques. Les lettrés japonais, dès le VIIe siècle, et singulièrement du XVIIe au XIXe siècle, ont donc composé en chinois des poèmes qui étaient toujours lus en japonais, d'où une liberté d'interprétation sans pareille puisque la forme même du poème est déterminée par chaque lecteur.
Ces poèmes, les kanshi, posent ainsi en termes nouveaux la question du rapport entre écriture et lecture en poésie. Pour traiter ce problème, il fallait évidemment que l'auteur ait une connaissance approfondie des langues chinoise et japonaise, mais aussi du français : c'est bien le cas de Marguerite-Marie Parvulesco, qui enseigne la littérature comparée à l'Université de Saïtama.
L'écriture chinoise, idéographique, permet de lire en japonais un poème écrit en chinois, d'où l'épanouissement d'une véritable poésie bilingue faisant simultanément référence à deux langues, deux cultures, deux esthétiques. Les lettrés japonais, dès le VIIe siècle, et singulièrement du XVIIe au XIXe siècle, ont donc composé en chinois des poèmes qui étaient toujours lus en japonais, d'où une liberté d'interprétation sans pareille puisque la forme même du poème est déterminée par chaque lecteur.
Ces poèmes, les kanshi, posent ainsi en termes nouveaux la question du rapport entre écriture et lecture en poésie. Pour traiter ce problème, il fallait évidemment que l'auteur ait une connaissance approfondie des langues chinoise et japonaise, mais aussi du français : c'est bien le cas de Marguerite-Marie Parvulesco, qui enseigne la littérature comparée à l'Université de Saïtama.