Ecrits d'exil. Contribution à l'histoire de la période 1939-1945

Par : Maurice Gabolde

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages558
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-14-000000-3
  • EAN9782140000003
  • Date de parution01/02/2016
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille15 Mo
  • ÉditeurEditions L'Harmattan

Résumé

Cet ouvrage retrace les souvenirs de Maurice Gabolde, dernier Garde des Sceaux du gouvernement de Vichy couchés sur le papier au cours de son exil en Espagne. Ces Écrits d'exil contiennent de nombreux témoignages sur le fonctionnement de la justice en France au cours de la période 1939-1945, que ce soit au début de la guerre dans une juridiction provinciale, en Savoie, un peu plus tard, dans une juridiction d'exception à Riom, par la suite à Paris, ou au ministère de la Justice qu'il dirigea à la fin de l'occupation.
Cet ouvrage retrace les souvenirs de Maurice Gabolde, dernier Garde des Sceaux du gouvernement de Vichy couchés sur le papier au cours de son exil en Espagne. Ces Écrits d'exil contiennent de nombreux témoignages sur le fonctionnement de la justice en France au cours de la période 1939-1945, que ce soit au début de la guerre dans une juridiction provinciale, en Savoie, un peu plus tard, dans une juridiction d'exception à Riom, par la suite à Paris, ou au ministère de la Justice qu'il dirigea à la fin de l'occupation.