Ecrits au noir
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- Nombre de pages162
- FormatePub
- ISBN978-2-89091-367-7
- EAN9782890913677
- Date de parution30/03/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions du remue-ménage
Résumé
Je suis politisée. Au passé et au présent, je suis une écrivaine connue pour mes prises de position, ma participation à des manifestations, ma présence à des réunions politiques, mon travail d'essayiste. Je n'ai pas été, je ne suis pas et je ne serai sans doute jamais une écrivaine qui prend la parole en public, qui se prononce à haute voix, justifie ses positions devant les autres. La parole m'a été enlevée de tout temps et m'est encore enlevée.
J'ai une pensée féministe et politique que je livre par écrit. Dans Écrits au noir, France Théoret signe un parti pris d'écriture. Elle y décrit le féminisme comme une ouvre au noir, dévoile les sources littéraires de la féminisation de la langue. Invoquant ses affinités, de Claude Gauvreau, Antonin Artaud, Hannah Arendt, Simone de Beauvoir, Gabrielle Roy à Elfriede Jelinek, elle prend position en faveur de l'engagement politique. Elle refuse la littérature intimiste et ses dérives.
Par des réflexions passionnées, l'écrivaine réfute inconditionnellement les langues de bois, les pirouettes formalistes et la marée noire du bavardage.
J'ai une pensée féministe et politique que je livre par écrit. Dans Écrits au noir, France Théoret signe un parti pris d'écriture. Elle y décrit le féminisme comme une ouvre au noir, dévoile les sources littéraires de la féminisation de la langue. Invoquant ses affinités, de Claude Gauvreau, Antonin Artaud, Hannah Arendt, Simone de Beauvoir, Gabrielle Roy à Elfriede Jelinek, elle prend position en faveur de l'engagement politique. Elle refuse la littérature intimiste et ses dérives.
Par des réflexions passionnées, l'écrivaine réfute inconditionnellement les langues de bois, les pirouettes formalistes et la marée noire du bavardage.
Je suis politisée. Au passé et au présent, je suis une écrivaine connue pour mes prises de position, ma participation à des manifestations, ma présence à des réunions politiques, mon travail d'essayiste. Je n'ai pas été, je ne suis pas et je ne serai sans doute jamais une écrivaine qui prend la parole en public, qui se prononce à haute voix, justifie ses positions devant les autres. La parole m'a été enlevée de tout temps et m'est encore enlevée.
J'ai une pensée féministe et politique que je livre par écrit. Dans Écrits au noir, France Théoret signe un parti pris d'écriture. Elle y décrit le féminisme comme une ouvre au noir, dévoile les sources littéraires de la féminisation de la langue. Invoquant ses affinités, de Claude Gauvreau, Antonin Artaud, Hannah Arendt, Simone de Beauvoir, Gabrielle Roy à Elfriede Jelinek, elle prend position en faveur de l'engagement politique. Elle refuse la littérature intimiste et ses dérives.
Par des réflexions passionnées, l'écrivaine réfute inconditionnellement les langues de bois, les pirouettes formalistes et la marée noire du bavardage.
J'ai une pensée féministe et politique que je livre par écrit. Dans Écrits au noir, France Théoret signe un parti pris d'écriture. Elle y décrit le féminisme comme une ouvre au noir, dévoile les sources littéraires de la féminisation de la langue. Invoquant ses affinités, de Claude Gauvreau, Antonin Artaud, Hannah Arendt, Simone de Beauvoir, Gabrielle Roy à Elfriede Jelinek, elle prend position en faveur de l'engagement politique. Elle refuse la littérature intimiste et ses dérives.
Par des réflexions passionnées, l'écrivaine réfute inconditionnellement les langues de bois, les pirouettes formalistes et la marée noire du bavardage.