Ecoutez gronder leur colère. Les héritières des Penn sardin de Douarnenez
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- FormatePub
- ISBN978-2-37729-350-6
- EAN9782377293506
- Date de parution22/11/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille297 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLibertalia
Résumé
Fin 1924, une grève massive des ouvrières des conserveries de sardines secouait le port de Douarnenez. Leur victoire en a fait un symbole des mobilisations ouvrières féminines. Cent ans plus tard, l'industrie de la sardine fonctionne toujours à plein dans ce port de pêche du Finistère. L'étripage et la mise en boîte sont encore largement réalisés à la main, et ce sont toujours des femmes qui s'y collent.
Quelques filles du coin en fin de carrière ; de jeunes intérimaires ; et surtout, des « petites mains » exilées, venues de La Réunion, d'Afrique, parfois du Proche-Orient ou d'Asie. Face à la dureté du labeur, au manque de considération, à la menace de l'automatisation, des solidarités timides se nouent et la lutte syndicale retrouve un peu de vigueur. Assez pour provoquer la révolte ? Tiphaine Guéret est journaliste indépendante.
Elle participe au mensuel CQFD ainsi qu'à la revue Panthère première.
Quelques filles du coin en fin de carrière ; de jeunes intérimaires ; et surtout, des « petites mains » exilées, venues de La Réunion, d'Afrique, parfois du Proche-Orient ou d'Asie. Face à la dureté du labeur, au manque de considération, à la menace de l'automatisation, des solidarités timides se nouent et la lutte syndicale retrouve un peu de vigueur. Assez pour provoquer la révolte ? Tiphaine Guéret est journaliste indépendante.
Elle participe au mensuel CQFD ainsi qu'à la revue Panthère première.
Fin 1924, une grève massive des ouvrières des conserveries de sardines secouait le port de Douarnenez. Leur victoire en a fait un symbole des mobilisations ouvrières féminines. Cent ans plus tard, l'industrie de la sardine fonctionne toujours à plein dans ce port de pêche du Finistère. L'étripage et la mise en boîte sont encore largement réalisés à la main, et ce sont toujours des femmes qui s'y collent.
Quelques filles du coin en fin de carrière ; de jeunes intérimaires ; et surtout, des « petites mains » exilées, venues de La Réunion, d'Afrique, parfois du Proche-Orient ou d'Asie. Face à la dureté du labeur, au manque de considération, à la menace de l'automatisation, des solidarités timides se nouent et la lutte syndicale retrouve un peu de vigueur. Assez pour provoquer la révolte ? Tiphaine Guéret est journaliste indépendante.
Elle participe au mensuel CQFD ainsi qu'à la revue Panthère première.
Quelques filles du coin en fin de carrière ; de jeunes intérimaires ; et surtout, des « petites mains » exilées, venues de La Réunion, d'Afrique, parfois du Proche-Orient ou d'Asie. Face à la dureté du labeur, au manque de considération, à la menace de l'automatisation, des solidarités timides se nouent et la lutte syndicale retrouve un peu de vigueur. Assez pour provoquer la révolte ? Tiphaine Guéret est journaliste indépendante.
Elle participe au mensuel CQFD ainsi qu'à la revue Panthère première.