Dubrovnik (Raguse) au moyen - age

Par : Nenad Fejic

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  • Nombre de pages172
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-44799-8
  • EAN9782296447998
  • Date de parution01/12/2010
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Dubrovnik, " la Venise slave " ne devait pas sa prospérité au Moyen-Age qu'à son rôle de plaque tournante du commerce international entre l'arrière-pays balkanique, difficile d'accès mais regorgeant de métaux-précieux et les marchés urbains du monde méditerranéen. Il faut nuancer cette image, d'une commune protégée par les pouvoirs suzerains consécutifs, byzantin, normand, vénitien, hongrois et ottoman, dont l'unique souci aurait été de s'enrichir et de s'embellir au fil des siècles ; car Dubrovnik était aussi une commune engagée dans d'incessants combats contre de puissants voisins, qui mobilisaient toutes les composantes de la société, les patriciens, les citoyens ordinaires, les étrangers, jusqu'aux paysans du district.
Ces combats n'imposaient pas uniquement à l'élite gouvernante patricienne, le recrutement des habitants de la ville ou de mercenaires étrangers, le renforcement des remparts ou la politique d'armement ; ils imposaient aussi la recherche au quotidien, d'un vrai pacte social, à même de satisfaire toutes les catégories de la population et de les mobiliser pour la défense de la liberté. L'histoire de ces combats est relatée dans ce livre.
Dubrovnik, " la Venise slave " ne devait pas sa prospérité au Moyen-Age qu'à son rôle de plaque tournante du commerce international entre l'arrière-pays balkanique, difficile d'accès mais regorgeant de métaux-précieux et les marchés urbains du monde méditerranéen. Il faut nuancer cette image, d'une commune protégée par les pouvoirs suzerains consécutifs, byzantin, normand, vénitien, hongrois et ottoman, dont l'unique souci aurait été de s'enrichir et de s'embellir au fil des siècles ; car Dubrovnik était aussi une commune engagée dans d'incessants combats contre de puissants voisins, qui mobilisaient toutes les composantes de la société, les patriciens, les citoyens ordinaires, les étrangers, jusqu'aux paysans du district.
Ces combats n'imposaient pas uniquement à l'élite gouvernante patricienne, le recrutement des habitants de la ville ou de mercenaires étrangers, le renforcement des remparts ou la politique d'armement ; ils imposaient aussi la recherche au quotidien, d'un vrai pacte social, à même de satisfaire toutes les catégories de la population et de les mobiliser pour la défense de la liberté. L'histoire de ces combats est relatée dans ce livre.