Du statut humain de la personne malade dans le contexte technomédical
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- Nombre de pages140
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7539-0551-1
- EAN9782753905511
- Date de parution15/12/2017
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurConnaissances & Savoirs
- PréfacierIssoufou Soulé Mouchili Njimom
Résumé
L'art médical dans sa configuration actuelle est une opération fondamentalement technique dont les instruments n'ont pas vocation à répondre à un questionnement moral. Devenue essentiellement opératoire, la médecine moderne va au-delà de la simple recherche du bien-être physique, psychique et psychologique, pour se définir comme une recherche des capacités de compréhension, de description et surtout de transformation de l'homme.
Aujourd'hui, « ?les professions liées aux soins requièrent des savoirs et des techniques particulières. Être soignant c'est d'abord avoir des compétences techniques et scientifiques? ». Avec la rationalisation des soins de santé, « ?les doses sont calculées, les mesures sont précises, les conséquences sont prévisibles? ». Avec l'essor de la thérapie génique, la médecine prédictive permet aujourd'hui d'avoir des enfants sur « ?mesure? », aussi la médecine régénératrice contribue à une amélioration constante de la condition humaine, ceci en luttant comme le vieillissement des cellules d'où la possibilité d'une augmentation de l'humain et une « ?mort de la mort? ».
Mais cette dynamique des nouvelles pratiques médicales, semble nous faire oublier que celui qui souffre est avant tout un homme et que « ?quelque chose lui est dû, du seul fait qu'il est humain? ». C'est pour cela que face à ce déficit éthique qui caractérise les sciences et techniques de la santé aujourd'hui, la philosophie nous rappelle la nécessité d'une réaffirmation de l'humain dans le contexte technomédical, d'où la nécessité d'élaborer des modalités pouvant permettre une meilleure prise en charge de la personne malade dans la médecine moderne.
À travers la philosophie du soin, l'éthique « ?traduit à la fois l'attention portée à l'effort spontané de guérison de la nature « ?la vis medicatrix naturae? » et le « ?souci du malade considéré dans son individualité? ».
Aujourd'hui, « ?les professions liées aux soins requièrent des savoirs et des techniques particulières. Être soignant c'est d'abord avoir des compétences techniques et scientifiques? ». Avec la rationalisation des soins de santé, « ?les doses sont calculées, les mesures sont précises, les conséquences sont prévisibles? ». Avec l'essor de la thérapie génique, la médecine prédictive permet aujourd'hui d'avoir des enfants sur « ?mesure? », aussi la médecine régénératrice contribue à une amélioration constante de la condition humaine, ceci en luttant comme le vieillissement des cellules d'où la possibilité d'une augmentation de l'humain et une « ?mort de la mort? ».
Mais cette dynamique des nouvelles pratiques médicales, semble nous faire oublier que celui qui souffre est avant tout un homme et que « ?quelque chose lui est dû, du seul fait qu'il est humain? ». C'est pour cela que face à ce déficit éthique qui caractérise les sciences et techniques de la santé aujourd'hui, la philosophie nous rappelle la nécessité d'une réaffirmation de l'humain dans le contexte technomédical, d'où la nécessité d'élaborer des modalités pouvant permettre une meilleure prise en charge de la personne malade dans la médecine moderne.
À travers la philosophie du soin, l'éthique « ?traduit à la fois l'attention portée à l'effort spontané de guérison de la nature « ?la vis medicatrix naturae? » et le « ?souci du malade considéré dans son individualité? ».
L'art médical dans sa configuration actuelle est une opération fondamentalement technique dont les instruments n'ont pas vocation à répondre à un questionnement moral. Devenue essentiellement opératoire, la médecine moderne va au-delà de la simple recherche du bien-être physique, psychique et psychologique, pour se définir comme une recherche des capacités de compréhension, de description et surtout de transformation de l'homme.
Aujourd'hui, « ?les professions liées aux soins requièrent des savoirs et des techniques particulières. Être soignant c'est d'abord avoir des compétences techniques et scientifiques? ». Avec la rationalisation des soins de santé, « ?les doses sont calculées, les mesures sont précises, les conséquences sont prévisibles? ». Avec l'essor de la thérapie génique, la médecine prédictive permet aujourd'hui d'avoir des enfants sur « ?mesure? », aussi la médecine régénératrice contribue à une amélioration constante de la condition humaine, ceci en luttant comme le vieillissement des cellules d'où la possibilité d'une augmentation de l'humain et une « ?mort de la mort? ».
Mais cette dynamique des nouvelles pratiques médicales, semble nous faire oublier que celui qui souffre est avant tout un homme et que « ?quelque chose lui est dû, du seul fait qu'il est humain? ». C'est pour cela que face à ce déficit éthique qui caractérise les sciences et techniques de la santé aujourd'hui, la philosophie nous rappelle la nécessité d'une réaffirmation de l'humain dans le contexte technomédical, d'où la nécessité d'élaborer des modalités pouvant permettre une meilleure prise en charge de la personne malade dans la médecine moderne.
À travers la philosophie du soin, l'éthique « ?traduit à la fois l'attention portée à l'effort spontané de guérison de la nature « ?la vis medicatrix naturae? » et le « ?souci du malade considéré dans son individualité? ».
Aujourd'hui, « ?les professions liées aux soins requièrent des savoirs et des techniques particulières. Être soignant c'est d'abord avoir des compétences techniques et scientifiques? ». Avec la rationalisation des soins de santé, « ?les doses sont calculées, les mesures sont précises, les conséquences sont prévisibles? ». Avec l'essor de la thérapie génique, la médecine prédictive permet aujourd'hui d'avoir des enfants sur « ?mesure? », aussi la médecine régénératrice contribue à une amélioration constante de la condition humaine, ceci en luttant comme le vieillissement des cellules d'où la possibilité d'une augmentation de l'humain et une « ?mort de la mort? ».
Mais cette dynamique des nouvelles pratiques médicales, semble nous faire oublier que celui qui souffre est avant tout un homme et que « ?quelque chose lui est dû, du seul fait qu'il est humain? ». C'est pour cela que face à ce déficit éthique qui caractérise les sciences et techniques de la santé aujourd'hui, la philosophie nous rappelle la nécessité d'une réaffirmation de l'humain dans le contexte technomédical, d'où la nécessité d'élaborer des modalités pouvant permettre une meilleure prise en charge de la personne malade dans la médecine moderne.
À travers la philosophie du soin, l'éthique « ?traduit à la fois l'attention portée à l'effort spontané de guérison de la nature « ?la vis medicatrix naturae? » et le « ?souci du malade considéré dans son individualité? ».




