Du service public à la prison commune. Souvenirs : Tunis, Rabat, Buenos-Aires, Vichy, Alger, Fresnes. Avec 2 cartes dans le texte

Par : Marcel Peyrouton

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  • Nombre de pages353
  • FormatePub
  • ISBN2-259-29641-6
  • EAN9782259296410
  • Date de parution01/01/1950
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • ÉditeurPlon (réédition numérique FeniXX)

Résumé

Après les témoignages de généraux, de chefs de gouvernement, ou d'hommes politiques, Marcel Peyrouton - qui n'appartint jamais à aucun parti - apporte celui d'un haut fonctionnaire, d'un serviteur de l'État, d'un « grand commis » comme on disait autrefois. Qu'il évoque ses différentes missions, en particulier celles qu'il remplit en Algérie, en Tunisie, au Maroc, et son court passage - d'août 40 à février 41 - à Vichy, où il fut successivement secrétaire général, puis ministre de l'Intérieur, il apparaît toujours comme un constructeur, un ami de l'ordre, qui contribue de toutes ses forces au bien public.
Son aventure est singulière. Avec une parfaite objectivité, il conte ce qu'il fit au ministère de l'Intérieur, ce qu'il vit en Argentine, où il fut ambassadeur et, surtout, nous donne - des rivalités entre les Français d'Alger après le Débarquement - un tableau saisissant. Il écrit des souvenirs, et s'il contribue à l'établissement de la vérité, il n'a pas la prétention d'avoir écrit un livre d'Histoire.
Il parle en témoin direct et en acteur. "Du service public à la prison commune" n'a rien d'un plaidoyer pro domo. Le livre a été écrit sans partisanerie, avec le seul désir de découvrir la vérité. Marcel Peyrouton appartient à la génération, arrivée à l'âge d'homme en 1914. celle qui fit la guerre, fut victorieuse et participa, de 1918 à 1939, à la gestion des affaires publiques. Il se range parmi ces réalistes, qui considéraient que la République - telle qu'elle fonctionnait avant 1939 - était un fait patent, tangible, définitif.
Après les témoignages de généraux, de chefs de gouvernement, ou d'hommes politiques, Marcel Peyrouton - qui n'appartint jamais à aucun parti - apporte celui d'un haut fonctionnaire, d'un serviteur de l'État, d'un « grand commis » comme on disait autrefois. Qu'il évoque ses différentes missions, en particulier celles qu'il remplit en Algérie, en Tunisie, au Maroc, et son court passage - d'août 40 à février 41 - à Vichy, où il fut successivement secrétaire général, puis ministre de l'Intérieur, il apparaît toujours comme un constructeur, un ami de l'ordre, qui contribue de toutes ses forces au bien public.
Son aventure est singulière. Avec une parfaite objectivité, il conte ce qu'il fit au ministère de l'Intérieur, ce qu'il vit en Argentine, où il fut ambassadeur et, surtout, nous donne - des rivalités entre les Français d'Alger après le Débarquement - un tableau saisissant. Il écrit des souvenirs, et s'il contribue à l'établissement de la vérité, il n'a pas la prétention d'avoir écrit un livre d'Histoire.
Il parle en témoin direct et en acteur. "Du service public à la prison commune" n'a rien d'un plaidoyer pro domo. Le livre a été écrit sans partisanerie, avec le seul désir de découvrir la vérité. Marcel Peyrouton appartient à la génération, arrivée à l'âge d'homme en 1914. celle qui fit la guerre, fut victorieuse et participa, de 1918 à 1939, à la gestion des affaires publiques. Il se range parmi ces réalistes, qui considéraient que la République - telle qu'elle fonctionnait avant 1939 - était un fait patent, tangible, définitif.