Du pain et de la liberté. Socio-histoire des partis populaires apristes (Pérou, Venezuela, 1920-1962)
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- Nombre de pages266
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7574-1822-2
- EAN9782757418222
- Date de parution08/02/2018
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPU du Septentrion
Résumé
Cette étude de socio-histoire du politique analyse les réseaux du Parti Apriste Péruvien (PAP) et d'Action Démocratique du Venezuela (AD). Elle se penche sur l'histoire des deux formations politiques traditionnellement considérées comme les plus importantes organisations partisanes dans leur pays respectif et figurant parmi les plus anciens partis latino-américains. Leur passé anti-impérialiste, leur caractère populiste, leur soutien aux projets d'intégration américaine ou le rayonnement de leurs chefs, Victor Raùl Haya de la Torre et Rómulo Betancourt, sont autant d'éléments qui leur confèrent une place de choix dans l'histoire politique du xxe siècle.
Ce travail met en évidence les réseaux transnationaux issus des liens tant personnels qu'organisationnels des dirigeants des deux partis durant leurs premiers pas dans la vie politique et leurs exils successifs. À partir des exemples du Pérou et du Venezuela, il examine la formation entre 1920 et 1962 d'une culture politique spécifique au sein de la gauche latino-américaine, celle des partis populistes apristes, en rendant compte d'une dynamique d'interdépendance sociale entre les individus, mais aussi d'un processus d'internationalisation de l'action collective qui produisit une praxis contestataire de lutte contre les dictatures.
Ce travail met en évidence les réseaux transnationaux issus des liens tant personnels qu'organisationnels des dirigeants des deux partis durant leurs premiers pas dans la vie politique et leurs exils successifs. À partir des exemples du Pérou et du Venezuela, il examine la formation entre 1920 et 1962 d'une culture politique spécifique au sein de la gauche latino-américaine, celle des partis populistes apristes, en rendant compte d'une dynamique d'interdépendance sociale entre les individus, mais aussi d'un processus d'internationalisation de l'action collective qui produisit une praxis contestataire de lutte contre les dictatures.
Cette étude de socio-histoire du politique analyse les réseaux du Parti Apriste Péruvien (PAP) et d'Action Démocratique du Venezuela (AD). Elle se penche sur l'histoire des deux formations politiques traditionnellement considérées comme les plus importantes organisations partisanes dans leur pays respectif et figurant parmi les plus anciens partis latino-américains. Leur passé anti-impérialiste, leur caractère populiste, leur soutien aux projets d'intégration américaine ou le rayonnement de leurs chefs, Victor Raùl Haya de la Torre et Rómulo Betancourt, sont autant d'éléments qui leur confèrent une place de choix dans l'histoire politique du xxe siècle.
Ce travail met en évidence les réseaux transnationaux issus des liens tant personnels qu'organisationnels des dirigeants des deux partis durant leurs premiers pas dans la vie politique et leurs exils successifs. À partir des exemples du Pérou et du Venezuela, il examine la formation entre 1920 et 1962 d'une culture politique spécifique au sein de la gauche latino-américaine, celle des partis populistes apristes, en rendant compte d'une dynamique d'interdépendance sociale entre les individus, mais aussi d'un processus d'internationalisation de l'action collective qui produisit une praxis contestataire de lutte contre les dictatures.
Ce travail met en évidence les réseaux transnationaux issus des liens tant personnels qu'organisationnels des dirigeants des deux partis durant leurs premiers pas dans la vie politique et leurs exils successifs. À partir des exemples du Pérou et du Venezuela, il examine la formation entre 1920 et 1962 d'une culture politique spécifique au sein de la gauche latino-américaine, celle des partis populistes apristes, en rendant compte d'une dynamique d'interdépendance sociale entre les individus, mais aussi d'un processus d'internationalisation de l'action collective qui produisit une praxis contestataire de lutte contre les dictatures.