Dix siècles de littérature angevine. Des "Scriptoria" du XIe siècle à la récente modernité

Par : Centre de recherches en littér, Georges Cesbron

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  • Nombre de pages296
  • FormatePub
  • ISBN2-307-02316-X
  • EAN9782307023166
  • Date de parution01/01/1985
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille92 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Pres...

Résumé

L'intention d'écrire ce livre remonte au premier colloque littéraire de l'Université d'Angers organisé en 1978 sur « Les Angevins de la littérature » et à la création du Centre de littérature sur l'Anjou et les bocages. Car il y a une littérature d'Anjou : les quelque cinq cents noms d'auteurs recensés pour cet essai, l'ensemble des deux mille titres cités ou analysés en attesteront l'évidence, l'importance, les constantes, les contrastes, les mutations, les continuités, les débats et les combats.
Certes, comme celles de toute littérature, les ouvres conçues, écrites ou reçues en Anjou sont inégales. Quelques-unes ne furent guère plus qu'un vagissement tautologique, d'autres ont été d'école et d'imitation. Encore valaient-elles d'être rappelées comme traces et repères d'une tradition d'humanisme et de culture qui n'a jamais connu en Anjou de véritable rupture. Mais beaucoup, en revanche, témoignent de talents libérés, d'interrogations remuantes, d'un progrès de l'esprit, d'une écriture de créateurs qui ne fabriquent pas une ouvre, mais lui donnent naissance, poussés par un sentiment irrépressible de nécessité où il entre à la fois du vital, du conscient, de l'imaginaire, du passionnel, du national et de l'essentiel.
L'ouvre, alors, est unique : Jean Michel, René d'Anjou, Jean Bodin, Joachim du Bellay, François Bernier, C.-F. Volney, Charles Dovalle, Alphonse Toussenel, Sophie Leroyer, René Bazin, Maurice Fourré, Émile Joulain, Hervé Bazin, Edmond Humeau, Julien Gracq, Maurice Courant, Francinel Caron - parmi tant d'autres - connaissent les pouvoirs fécondants de la parole. Ils nous ont fait passer des heures inoubliables de lecture fervente.
Puisse donc ce plaisir de lecture, puisque la beauté est contagion, se communiquer à qui lira ce précis de onze siècles de Littérature Angevine !
L'intention d'écrire ce livre remonte au premier colloque littéraire de l'Université d'Angers organisé en 1978 sur « Les Angevins de la littérature » et à la création du Centre de littérature sur l'Anjou et les bocages. Car il y a une littérature d'Anjou : les quelque cinq cents noms d'auteurs recensés pour cet essai, l'ensemble des deux mille titres cités ou analysés en attesteront l'évidence, l'importance, les constantes, les contrastes, les mutations, les continuités, les débats et les combats.
Certes, comme celles de toute littérature, les ouvres conçues, écrites ou reçues en Anjou sont inégales. Quelques-unes ne furent guère plus qu'un vagissement tautologique, d'autres ont été d'école et d'imitation. Encore valaient-elles d'être rappelées comme traces et repères d'une tradition d'humanisme et de culture qui n'a jamais connu en Anjou de véritable rupture. Mais beaucoup, en revanche, témoignent de talents libérés, d'interrogations remuantes, d'un progrès de l'esprit, d'une écriture de créateurs qui ne fabriquent pas une ouvre, mais lui donnent naissance, poussés par un sentiment irrépressible de nécessité où il entre à la fois du vital, du conscient, de l'imaginaire, du passionnel, du national et de l'essentiel.
L'ouvre, alors, est unique : Jean Michel, René d'Anjou, Jean Bodin, Joachim du Bellay, François Bernier, C.-F. Volney, Charles Dovalle, Alphonse Toussenel, Sophie Leroyer, René Bazin, Maurice Fourré, Émile Joulain, Hervé Bazin, Edmond Humeau, Julien Gracq, Maurice Courant, Francinel Caron - parmi tant d'autres - connaissent les pouvoirs fécondants de la parole. Ils nous ont fait passer des heures inoubliables de lecture fervente.
Puisse donc ce plaisir de lecture, puisque la beauté est contagion, se communiquer à qui lira ce précis de onze siècles de Littérature Angevine !
Sacrifice et sacré (1)
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