Division de choc Wallonie
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages392
- FormatePub
- ISBN2-402-29359-4
- EAN9782402293594
- Date de parution01/01/1996
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Jacq...
Résumé
Automne 1944. Tous les volontaires belges francophones sont rassemblés dans une grande unité destinée à combattre contre l'Armée Rouge. Ces hommes - ils se nomment entre eux « les Bourguignons » - sont commandés par Léon Degrelle, ancien chef du mouvement politique « Rex », décoré de la croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, après les combats d'Ukraine et d'Estonie. La nouvelle formation, rassemblée dans le nord de l'Allemagne, prend le nom de division Wallonie.
Les Wallons seront engagés sur le front de Poméranie, à l'est de Stettin, non loin de leurs camarades flamands. Ils contiennent pendant quelques jours les troupes russes fonçant vers la mer Baltique et l'embouchure de l'Oder. Les « Bourguignons », réduits au quart de leurs effectifs, seront les derniers à repasser le grand fleuve qui marque aujourd'hui la frontière orientale de l'Allemagne réunifiée.
Ils livreront encore de très durs combats sur la rive gauche de l'Oder, avant d'être emportés dans le reflux vers l'ouest de toutes les forces armées du IIIe Reich. Ainsi se termine l'aventure des six mille volontaires belges francophones engagés dans la Wehrmacht depuis 1941 et qui ont rejoint la Waffen SS en 1943. Leur histoire, encore très mal connue, constitue un des événements les plus insolites de la Seconde Guerre Mondiale.
Les Wallons seront engagés sur le front de Poméranie, à l'est de Stettin, non loin de leurs camarades flamands. Ils contiennent pendant quelques jours les troupes russes fonçant vers la mer Baltique et l'embouchure de l'Oder. Les « Bourguignons », réduits au quart de leurs effectifs, seront les derniers à repasser le grand fleuve qui marque aujourd'hui la frontière orientale de l'Allemagne réunifiée.
Ils livreront encore de très durs combats sur la rive gauche de l'Oder, avant d'être emportés dans le reflux vers l'ouest de toutes les forces armées du IIIe Reich. Ainsi se termine l'aventure des six mille volontaires belges francophones engagés dans la Wehrmacht depuis 1941 et qui ont rejoint la Waffen SS en 1943. Leur histoire, encore très mal connue, constitue un des événements les plus insolites de la Seconde Guerre Mondiale.
Automne 1944. Tous les volontaires belges francophones sont rassemblés dans une grande unité destinée à combattre contre l'Armée Rouge. Ces hommes - ils se nomment entre eux « les Bourguignons » - sont commandés par Léon Degrelle, ancien chef du mouvement politique « Rex », décoré de la croix de chevalier de la Croix de fer avec feuilles de chêne, après les combats d'Ukraine et d'Estonie. La nouvelle formation, rassemblée dans le nord de l'Allemagne, prend le nom de division Wallonie.
Les Wallons seront engagés sur le front de Poméranie, à l'est de Stettin, non loin de leurs camarades flamands. Ils contiennent pendant quelques jours les troupes russes fonçant vers la mer Baltique et l'embouchure de l'Oder. Les « Bourguignons », réduits au quart de leurs effectifs, seront les derniers à repasser le grand fleuve qui marque aujourd'hui la frontière orientale de l'Allemagne réunifiée.
Ils livreront encore de très durs combats sur la rive gauche de l'Oder, avant d'être emportés dans le reflux vers l'ouest de toutes les forces armées du IIIe Reich. Ainsi se termine l'aventure des six mille volontaires belges francophones engagés dans la Wehrmacht depuis 1941 et qui ont rejoint la Waffen SS en 1943. Leur histoire, encore très mal connue, constitue un des événements les plus insolites de la Seconde Guerre Mondiale.
Les Wallons seront engagés sur le front de Poméranie, à l'est de Stettin, non loin de leurs camarades flamands. Ils contiennent pendant quelques jours les troupes russes fonçant vers la mer Baltique et l'embouchure de l'Oder. Les « Bourguignons », réduits au quart de leurs effectifs, seront les derniers à repasser le grand fleuve qui marque aujourd'hui la frontière orientale de l'Allemagne réunifiée.
Ils livreront encore de très durs combats sur la rive gauche de l'Oder, avant d'être emportés dans le reflux vers l'ouest de toutes les forces armées du IIIe Reich. Ainsi se termine l'aventure des six mille volontaires belges francophones engagés dans la Wehrmacht depuis 1941 et qui ont rejoint la Waffen SS en 1943. Leur histoire, encore très mal connue, constitue un des événements les plus insolites de la Seconde Guerre Mondiale.