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- Nombre de pages116
- FormatePub
- ISBN978-2-246-46649-9
- EAN9782246466499
- Date de parution01/04/2014
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille133 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurGrasset
Résumé
"Voilà trente-cinq ans que le Traité de Rome a été signé. Voilà trente-cinq ans que, contrairement à son esprit, une oligarchie d'experts, de juges, de fonctionnaires, de gouvernants, prend des décisions au nom des peuples, sans en avoir reçu mandat. L'Europe conçue par ces technocrates et consacrée à Maastricht n'est ni libre ni juste. Elle enterre la conception de la souveraineté nationale et les grands principes issus de la Révolution.
La citoyenneté ne se décrète pas, ne relève ni de la loi, ni du traité. Pour qu'il y ait une citoyenneté européenne, il faudrait qu'il y ait une Nation européenne. Mais on ne peut pas décréter une nation, fût-elle européenne, par traité." Ce texte a été prononcé par Philippe Séguin, à l'Assemblée Nationale dans la nuit du 5 au 6 mai 1992, dans le cadre du débat consacré au projet de loi de révision constitutionnelle préalable à la ratification des accords de Maastricht.
La citoyenneté ne se décrète pas, ne relève ni de la loi, ni du traité. Pour qu'il y ait une citoyenneté européenne, il faudrait qu'il y ait une Nation européenne. Mais on ne peut pas décréter une nation, fût-elle européenne, par traité." Ce texte a été prononcé par Philippe Séguin, à l'Assemblée Nationale dans la nuit du 5 au 6 mai 1992, dans le cadre du débat consacré au projet de loi de révision constitutionnelle préalable à la ratification des accords de Maastricht.
"Voilà trente-cinq ans que le Traité de Rome a été signé. Voilà trente-cinq ans que, contrairement à son esprit, une oligarchie d'experts, de juges, de fonctionnaires, de gouvernants, prend des décisions au nom des peuples, sans en avoir reçu mandat. L'Europe conçue par ces technocrates et consacrée à Maastricht n'est ni libre ni juste. Elle enterre la conception de la souveraineté nationale et les grands principes issus de la Révolution.
La citoyenneté ne se décrète pas, ne relève ni de la loi, ni du traité. Pour qu'il y ait une citoyenneté européenne, il faudrait qu'il y ait une Nation européenne. Mais on ne peut pas décréter une nation, fût-elle européenne, par traité." Ce texte a été prononcé par Philippe Séguin, à l'Assemblée Nationale dans la nuit du 5 au 6 mai 1992, dans le cadre du débat consacré au projet de loi de révision constitutionnelle préalable à la ratification des accords de Maastricht.
La citoyenneté ne se décrète pas, ne relève ni de la loi, ni du traité. Pour qu'il y ait une citoyenneté européenne, il faudrait qu'il y ait une Nation européenne. Mais on ne peut pas décréter une nation, fût-elle européenne, par traité." Ce texte a été prononcé par Philippe Séguin, à l'Assemblée Nationale dans la nuit du 5 au 6 mai 1992, dans le cadre du débat consacré au projet de loi de révision constitutionnelle préalable à la ratification des accords de Maastricht.
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