Dis - moi ton espérance
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- Nombre de pages196
- FormatePub
- ISBN10-369-0250-1
- EAN9791036902505
- Date de parution01/01/1999
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille389 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurSeuil (réédition numérique FeniX...
Résumé
« Maintenant le temps presse. J'ai découvert l'urgence devant la proximité de la mort. Les obstacles qui demeurent en moi, et qui me retiennent à distance de l'Évangile, j'ai entrepris de les détruire. Il en est un que je crois redoutable : je n'ai pas aimé l'espérance. » Dans ce livre, Guy Coq poursuit la méditation commencée dans Que m'est-il donc arrivé ? Il s'interroge : qu'ai-je fait, qu'avons-nous fait de l'espérance ? Les grandes utopies de naguère ont déçu.
Chez les bien-portants, chez les gens heureux, jouir pleinement de l'instant présent, sans regarder au lendemain, est devenu la règle. Ceux qui vivent difficilement sont voués au désespoir ou à la révolte, au scepticisme stoïque ou à la résignation. L'espérance est vilipendée comme une illusion, une non-vertu. Au contraire, Guy Coq montre ici la nécessité et la force de l'espérance, qui est toujours « au commencement » : elle porte le moindre élan vers la vie.
D'elle naît l'action pour que demain soit meilleur. Elle ne sait rien du futur, mais elle attend l'imprévu. Son signe est l'enfant, car il impose d'espérer en ouvrant l'avenir.
Chez les bien-portants, chez les gens heureux, jouir pleinement de l'instant présent, sans regarder au lendemain, est devenu la règle. Ceux qui vivent difficilement sont voués au désespoir ou à la révolte, au scepticisme stoïque ou à la résignation. L'espérance est vilipendée comme une illusion, une non-vertu. Au contraire, Guy Coq montre ici la nécessité et la force de l'espérance, qui est toujours « au commencement » : elle porte le moindre élan vers la vie.
D'elle naît l'action pour que demain soit meilleur. Elle ne sait rien du futur, mais elle attend l'imprévu. Son signe est l'enfant, car il impose d'espérer en ouvrant l'avenir.
« Maintenant le temps presse. J'ai découvert l'urgence devant la proximité de la mort. Les obstacles qui demeurent en moi, et qui me retiennent à distance de l'Évangile, j'ai entrepris de les détruire. Il en est un que je crois redoutable : je n'ai pas aimé l'espérance. » Dans ce livre, Guy Coq poursuit la méditation commencée dans Que m'est-il donc arrivé ? Il s'interroge : qu'ai-je fait, qu'avons-nous fait de l'espérance ? Les grandes utopies de naguère ont déçu.
Chez les bien-portants, chez les gens heureux, jouir pleinement de l'instant présent, sans regarder au lendemain, est devenu la règle. Ceux qui vivent difficilement sont voués au désespoir ou à la révolte, au scepticisme stoïque ou à la résignation. L'espérance est vilipendée comme une illusion, une non-vertu. Au contraire, Guy Coq montre ici la nécessité et la force de l'espérance, qui est toujours « au commencement » : elle porte le moindre élan vers la vie.
D'elle naît l'action pour que demain soit meilleur. Elle ne sait rien du futur, mais elle attend l'imprévu. Son signe est l'enfant, car il impose d'espérer en ouvrant l'avenir.
Chez les bien-portants, chez les gens heureux, jouir pleinement de l'instant présent, sans regarder au lendemain, est devenu la règle. Ceux qui vivent difficilement sont voués au désespoir ou à la révolte, au scepticisme stoïque ou à la résignation. L'espérance est vilipendée comme une illusion, une non-vertu. Au contraire, Guy Coq montre ici la nécessité et la force de l'espérance, qui est toujours « au commencement » : elle porte le moindre élan vers la vie.
D'elle naît l'action pour que demain soit meilleur. Elle ne sait rien du futur, mais elle attend l'imprévu. Son signe est l'enfant, car il impose d'espérer en ouvrant l'avenir.



















