Diriger une banque Coréenne. Ou le difficile bonheur d'être banquier
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- Nombre de pages228
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-25332-2
- EAN9782296253322
- Date de parution01/04/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille10 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- TraducteurSerge Raffet
Résumé
Après la crise économique de 1997, Korea First Bank, une des toutes premières banques de Corée, connut la faillite. Elle fut ensuite la première banque coréenne à être dirigée par un étranger. Comment un étranger, ignorant la langue, la culture coréenne, et le drame que la banque et ses employés avaient subi ces dernières années, pourrait-il la redresser et en faire de nouveau une banque viable et profitable ? TPG-Newbridge, le principal actionnaire, paria sur un banquier français, basé à New York, Robert Cohen.
Weijan Shan, l'associé de TPG en charge du dossier, le présente en ces termes : " Robert avait un pedigree impeccable pour la fonction : il avait 30 ans d'expérience bancaire, il avait été vice-chairman de la Republic National Bank of New York et, avant cela, il avait été CEO du Crédit Lyonnais USA, responsable du Crédit Lyonnais pour l'ensemble des Amériques. Robert était aussi un intellectuel, ancien élève de l'Ecole Polytechnique avec un doctorat de Paris-Dauphine, il avait enseigné la finance dans plusieurs établissements supérieurs pendant 16 ans.
Avec cette combinaison de théorie et de pratique, Robert connaissait tous les métiers de la banque et savait comment diriger de grandes banques dans différents contextes culturels ".
Weijan Shan, l'associé de TPG en charge du dossier, le présente en ces termes : " Robert avait un pedigree impeccable pour la fonction : il avait 30 ans d'expérience bancaire, il avait été vice-chairman de la Republic National Bank of New York et, avant cela, il avait été CEO du Crédit Lyonnais USA, responsable du Crédit Lyonnais pour l'ensemble des Amériques. Robert était aussi un intellectuel, ancien élève de l'Ecole Polytechnique avec un doctorat de Paris-Dauphine, il avait enseigné la finance dans plusieurs établissements supérieurs pendant 16 ans.
Avec cette combinaison de théorie et de pratique, Robert connaissait tous les métiers de la banque et savait comment diriger de grandes banques dans différents contextes culturels ".
Après la crise économique de 1997, Korea First Bank, une des toutes premières banques de Corée, connut la faillite. Elle fut ensuite la première banque coréenne à être dirigée par un étranger. Comment un étranger, ignorant la langue, la culture coréenne, et le drame que la banque et ses employés avaient subi ces dernières années, pourrait-il la redresser et en faire de nouveau une banque viable et profitable ? TPG-Newbridge, le principal actionnaire, paria sur un banquier français, basé à New York, Robert Cohen.
Weijan Shan, l'associé de TPG en charge du dossier, le présente en ces termes : " Robert avait un pedigree impeccable pour la fonction : il avait 30 ans d'expérience bancaire, il avait été vice-chairman de la Republic National Bank of New York et, avant cela, il avait été CEO du Crédit Lyonnais USA, responsable du Crédit Lyonnais pour l'ensemble des Amériques. Robert était aussi un intellectuel, ancien élève de l'Ecole Polytechnique avec un doctorat de Paris-Dauphine, il avait enseigné la finance dans plusieurs établissements supérieurs pendant 16 ans.
Avec cette combinaison de théorie et de pratique, Robert connaissait tous les métiers de la banque et savait comment diriger de grandes banques dans différents contextes culturels ".
Weijan Shan, l'associé de TPG en charge du dossier, le présente en ces termes : " Robert avait un pedigree impeccable pour la fonction : il avait 30 ans d'expérience bancaire, il avait été vice-chairman de la Republic National Bank of New York et, avant cela, il avait été CEO du Crédit Lyonnais USA, responsable du Crédit Lyonnais pour l'ensemble des Amériques. Robert était aussi un intellectuel, ancien élève de l'Ecole Polytechnique avec un doctorat de Paris-Dauphine, il avait enseigné la finance dans plusieurs établissements supérieurs pendant 16 ans.
Avec cette combinaison de théorie et de pratique, Robert connaissait tous les métiers de la banque et savait comment diriger de grandes banques dans différents contextes culturels ".