Dire les Cévennes. Mille ans de témoignages

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  • Nombre de pages322
  • FormatePub
  • ISBN2-402-06520-6
  • EAN9782402065207
  • Date de parution31/12/1993
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille5 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Pres...
  • PréfacierPhilippe Joutard
  • CompilateurPatrick Cabanel

Résumé

En août 1994, le Club Cévenol fête ses cent ans. Rares sont les associations à pouvoir se vanter d'une telle vitalité. Pour saluer ce centenaire qui est en même temps une affirmation de dynamisme et d'ouverture, nous avons voulu un ouvrage à la hauteur de la commémoration. D'où l'idée de ce livre, ouvre collective, qui, en 320 pages regroupant les textes de près de cent quatre-vingts auteurs, retrace l'extraordinaire place que les Cévennes occupent depuis plus de dix siècles dans l'imaginaire collectif.
Peu de pays ont, en effet, autant inspiré voyageurs, historiens, poètes et écrivains, preuve que les Cévennes incarnent depuis toujours ce lieu magique auquel, Cévenols d'origine ou d'adoption, nous sommes si profondément attachés. De Jules César et Sidoine Apollinaire à Thomas Platter, d'Abraham Mazel et Antoine Court à Arthur Young, de Stendhal et Michelet à R. L. Stevenson, d'André Chamson et Max Olivier Lacamp à Jean Pierre Chabrol, Jean Carrière et Adrienne Durand Tullou, l'ouvrage retrace en vingt-trois parties thématiques (soie, protestantisme, tradition orale, vie quotidienne, Résistance, exode rural.) cet immense panorama de la mémoire cévenole qui, écrit Philippe Joutard, « ne signifie en aucune façon un enlisement dans un passé révolu et la nostalgie d'un âge d'or qui compenserait un présent morose et un avenir sombre.
Bien au contraire. » À l'instar de Paul Arnal qui « avait pressenti la fin d'une civilisation cévenole, mais se refusait de croire à la mort des Cévennes », Philippe Joutard souligne que « le principal obstacle à la survie de nos montagnes ne réside pas dans la fragilité de leur économie, mais dans la perte de confiance et de découragement de certains de leurs habitants. » Et, ajoute-t-il avec force, « le meilleur moyen de combattre ces sentiments, c'est encore de rappeler les victoires impossibles obtenues dans le passé ».
En cela, « Dire les Cévennes n'est pas un mausolée pour un pays défunt, c'est une mémoire pour demain ».
En août 1994, le Club Cévenol fête ses cent ans. Rares sont les associations à pouvoir se vanter d'une telle vitalité. Pour saluer ce centenaire qui est en même temps une affirmation de dynamisme et d'ouverture, nous avons voulu un ouvrage à la hauteur de la commémoration. D'où l'idée de ce livre, ouvre collective, qui, en 320 pages regroupant les textes de près de cent quatre-vingts auteurs, retrace l'extraordinaire place que les Cévennes occupent depuis plus de dix siècles dans l'imaginaire collectif.
Peu de pays ont, en effet, autant inspiré voyageurs, historiens, poètes et écrivains, preuve que les Cévennes incarnent depuis toujours ce lieu magique auquel, Cévenols d'origine ou d'adoption, nous sommes si profondément attachés. De Jules César et Sidoine Apollinaire à Thomas Platter, d'Abraham Mazel et Antoine Court à Arthur Young, de Stendhal et Michelet à R. L. Stevenson, d'André Chamson et Max Olivier Lacamp à Jean Pierre Chabrol, Jean Carrière et Adrienne Durand Tullou, l'ouvrage retrace en vingt-trois parties thématiques (soie, protestantisme, tradition orale, vie quotidienne, Résistance, exode rural.) cet immense panorama de la mémoire cévenole qui, écrit Philippe Joutard, « ne signifie en aucune façon un enlisement dans un passé révolu et la nostalgie d'un âge d'or qui compenserait un présent morose et un avenir sombre.
Bien au contraire. » À l'instar de Paul Arnal qui « avait pressenti la fin d'une civilisation cévenole, mais se refusait de croire à la mort des Cévennes », Philippe Joutard souligne que « le principal obstacle à la survie de nos montagnes ne réside pas dans la fragilité de leur économie, mais dans la perte de confiance et de découragement de certains de leurs habitants. » Et, ajoute-t-il avec force, « le meilleur moyen de combattre ces sentiments, c'est encore de rappeler les victoires impossibles obtenues dans le passé ».
En cela, « Dire les Cévennes n'est pas un mausolée pour un pays défunt, c'est une mémoire pour demain ».