Dieu n'est pas mort. Le malentendu des Lumières

Par : Edouard Valdman

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  • Nombre de pages256
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-33930-1
  • EAN9782296339309
  • Date de parution01/11/2003
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille5 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

La philosophie des Lumières, les droits de l'homme et le principe de laïcité qui s'en inspirent constituent le socle des institutions de la France, mais c'est la mort du Roi, symbolique de celle du Père et de Dieu, qui scelle le pacte républicain. Or, Dieu est une dimension incontournable de la conscience humaine. On ne peut le nier. On ne peut que l'intégrer. C'est pourquoi la souveraineté populaire de Jean-Jacques Rousseau ne sera que le visage inversé de l'absolutisme royal.
Les pays anglo-saxons ont préservé, grâce à la Réforme Protestante, une relation à la transcendance. Ce sont leurs principes auxquels aujourd'hui est confrontée la France à l'occasion de sa rencontre avec l'Europe, en même temps que dans sa relation aux Etats-Unis. La mort de Dieu, les Droits de l'Homme, tels que les ont définis les révolutionnaires de 1789, n'engendrent-ils pas un retour du refoulé qui serait à l'origine des totalitarismes ? A travers une lecture de Rousseau, de Nietzsche, de Marx, de Foucault, Edouard VALDMAN met au jour avec acuité, en se référant à Arendt et Lévinas, la Blessure qui est à l'origine de la France contemporaine : son parricide.
Il démontre que l'Europe ne pourra se réaliser que si elle est en mesure de s'élever au-dessus des Etats-Nations qui la composent, à travers un principe transcendant posant comme fondement de sa future Constitution celui de la pluralité humaine. " L'homme dépasse infiniment l'homme ! " Pascal.
La philosophie des Lumières, les droits de l'homme et le principe de laïcité qui s'en inspirent constituent le socle des institutions de la France, mais c'est la mort du Roi, symbolique de celle du Père et de Dieu, qui scelle le pacte républicain. Or, Dieu est une dimension incontournable de la conscience humaine. On ne peut le nier. On ne peut que l'intégrer. C'est pourquoi la souveraineté populaire de Jean-Jacques Rousseau ne sera que le visage inversé de l'absolutisme royal.
Les pays anglo-saxons ont préservé, grâce à la Réforme Protestante, une relation à la transcendance. Ce sont leurs principes auxquels aujourd'hui est confrontée la France à l'occasion de sa rencontre avec l'Europe, en même temps que dans sa relation aux Etats-Unis. La mort de Dieu, les Droits de l'Homme, tels que les ont définis les révolutionnaires de 1789, n'engendrent-ils pas un retour du refoulé qui serait à l'origine des totalitarismes ? A travers une lecture de Rousseau, de Nietzsche, de Marx, de Foucault, Edouard VALDMAN met au jour avec acuité, en se référant à Arendt et Lévinas, la Blessure qui est à l'origine de la France contemporaine : son parricide.
Il démontre que l'Europe ne pourra se réaliser que si elle est en mesure de s'élever au-dessus des Etats-Nations qui la composent, à travers un principe transcendant posant comme fondement de sa future Constitution celui de la pluralité humaine. " L'homme dépasse infiniment l'homme ! " Pascal.