Diego Velazquez, 1599-1660
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- Nombre de pages92
- FormatePub
- ISBN2-307-04021-8
- EAN9782307040217
- Date de parution01/01/1954
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille18 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Flam...
Résumé
"Voici le peintre des peintres", s'écria Édouard Manet en voyant la magnifique collection des Velazquez au Musée du Prado. En 1623, le roi Philippe IV d'Espagne le nomma peintre de la Cour et, pendant trente-sept ans, jusqu'à sa mort en 1660, il servit le Roi qui surveillait jalousement son travail et accumulait ses peintures. Mais, tout en étant peintre de la Cour, Velazquez choisissait ses modèles parmi ceux qui vivaient autour de lui.
Devant son merveilleux pinceau, tous les hommes étaient égaux ; le Roi et la famille royale sont peints avec autant d'impartialité que le nain ou le bouffon. Après avoir admiré ses ouvres, nous pouvons analyser son caractère, qui est à la fois orgueilleux, très sensible et raffiné, consciencieux et brillant. Comme peintre, il ne cessa de se perfectionner, devenant de plus en plus sobre dans l'expression, tout en saisissant l'essentiel pour le fixer à jamais.
Devant son merveilleux pinceau, tous les hommes étaient égaux ; le Roi et la famille royale sont peints avec autant d'impartialité que le nain ou le bouffon. Après avoir admiré ses ouvres, nous pouvons analyser son caractère, qui est à la fois orgueilleux, très sensible et raffiné, consciencieux et brillant. Comme peintre, il ne cessa de se perfectionner, devenant de plus en plus sobre dans l'expression, tout en saisissant l'essentiel pour le fixer à jamais.
"Voici le peintre des peintres", s'écria Édouard Manet en voyant la magnifique collection des Velazquez au Musée du Prado. En 1623, le roi Philippe IV d'Espagne le nomma peintre de la Cour et, pendant trente-sept ans, jusqu'à sa mort en 1660, il servit le Roi qui surveillait jalousement son travail et accumulait ses peintures. Mais, tout en étant peintre de la Cour, Velazquez choisissait ses modèles parmi ceux qui vivaient autour de lui.
Devant son merveilleux pinceau, tous les hommes étaient égaux ; le Roi et la famille royale sont peints avec autant d'impartialité que le nain ou le bouffon. Après avoir admiré ses ouvres, nous pouvons analyser son caractère, qui est à la fois orgueilleux, très sensible et raffiné, consciencieux et brillant. Comme peintre, il ne cessa de se perfectionner, devenant de plus en plus sobre dans l'expression, tout en saisissant l'essentiel pour le fixer à jamais.
Devant son merveilleux pinceau, tous les hommes étaient égaux ; le Roi et la famille royale sont peints avec autant d'impartialité que le nain ou le bouffon. Après avoir admiré ses ouvres, nous pouvons analyser son caractère, qui est à la fois orgueilleux, très sensible et raffiné, consciencieux et brillant. Comme peintre, il ne cessa de se perfectionner, devenant de plus en plus sobre dans l'expression, tout en saisissant l'essentiel pour le fixer à jamais.