Après "La Déchirure" dont l'accueil fut discret, "Le Régiment noir" va marquer la véritable entrée de Henry Bauchau dans l'ampleur de sa vocation romanesque. Ce journal 1968-1971 en retrace les difficultés. Il est surtout marqué par une vingtaine d'entretiens très intimes de l'auteur avec son ami le médecin et psychanalyste Robert Dreyfuss.
Après "La Déchirure" dont l'accueil fut discret, "Le Régiment noir" va marquer la véritable entrée de Henry Bauchau dans l'ampleur de sa vocation romanesque. Ce journal 1968-1971 en retrace les difficultés. Il est surtout marqué par une vingtaine d'entretiens très intimes de l'auteur avec son ami le médecin et psychanalyste Robert Dreyfuss.