Biographie de Gôshô Aoyama
Gosho Aoyama, l'auteur de ce subtile manga, est né le 21 juin 1963 au Japon et se prénomme en réalité Yoshimasa.
De lui, on ne connaît que peu de choses. On sait toutefois qu'il a été le lauréat du 19ième Prix des jeunes auteurs de Shôgakukan avec son premier manga : "Chotto mattete" ("Attends un peu !").
Gosho Aoyama est aujourd'hui le véritable auteur à succès de l'hebdomadaire Shonen Sunday.
Pour preuve, lorsqu'à peu près tous les deux mois, sort un volume relié de Détective Conan, il est immédiatement propulsé en tête des meilleures ventes. Au Japon, ce n'est pas rien ! Pour information, sachez qu'en une semaine, plus de 400. 000 exemplaires de Conan y sont généralement vendus. De quoi faire rêver n'importe quel éditeur européen...
A ce jour, même si Yaïba, sa précédente série, n'est pas passée inaperçue, loin de là,
c'est Meitantei Conan qui reste son plus gros succès.
Gosho Aoyama, l'auteur de ce subtile manga, est né le 21 juin 1963 au Japon et se prénomme en réalité Yoshimasa.
De lui, on ne connaît que peu de choses. On sait toutefois qu'il a été le lauréat du 19ième Prix des jeunes auteurs de Shôgakukan avec son premier manga : "Chotto mattete" ("Attends un peu !").
Gosho Aoyama est aujourd'hui le véritable auteur à succès de l'hebdomadaire Shonen Sunday. Pour preuve, lorsqu'à peu près tous les deux mois, sort un volume relié de Détective Conan, il est immédiatement propulsé en tête des meilleures ventes.
Au Japon, ce n'est pas rien ! Pour information, sachez qu'en une semaine, plus de 400. 000 exemplaires de Conan y sont généralement vendus. De quoi faire rêver n'importe quel éditeur européen...
A ce jour, même si Yaïba, sa précédente série, n'est pas passée inaperçue, loin de là,
c'est Meitantei Conan qui reste son plus gros succès.
Conan démonte les alibis
On avait laissé Conan en grand danger à la fin du tome 5, c'est donc avec inquiétude qu'on le retrouve toujours aux prises de ce terrible homme masqué. Qu'on se rassure, ce n'était qu'un canular destiné à lui faire prendre conscience du danger pour un petit garçon de se prendre pour un grand détective. Mais Conan ne veut pas entendre raison et il réintègre l'appartement de Ran et Mouri, prêt pour de nouvelles enquêtes.
Un homme d'affaire assassiné avec un sabre, un cadavre qui disparaît, un écrivain tué par balle...tant de crimes mystérieux mais qui ne le restent pas longtemps pour le détective futé. Lui mieux que nul autre sait que l'habit ne fait pas le moine et qu'il ne faut pas se fier aux apparences. Derrière les protestations d'innocence les plus sincères et les alibis les plus solides se cache souvent un meurtrier aussi retors que machiavélique!
Encore un tome plaisant où Conan fait la preuve de son infaillible flair et où l'on retrouve avec plaisir ses zélés camarades du club des détectives. Le seul bémol viendrait du découpage des épisodes. Ce tome s'arrête au moment où Conan vient de trouver le moyen de confondre un coupable. Certes on peut imaginer que c'est pour ménager le suspense mais on peut aussi pencher pour un découpage irréfléchi, voire irrespectueux pour le lecteur...