Descartes, le pari de l'expérience. Cogito, liberté, union de l'âme et du corps
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- Nombre de pages284
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-23943-2
- EAN9782296239432
- Date de parution01/11/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Nous pensons, nous sommes libres et nous éprouvons des passions : pour quelles raisons ? Descartes fournit cette réponse simple : parce que nous en faisons l'expérience. L'esprit actif institue un ordre de la raison qui se fonde sur des faits que l'homme expérimente en lui-même et dont il serait absurde de douter. Contrairement à la démarche empiriste qui recherche une origine dans une genèse de l'acte de connaître, l'expérience cartésienne témoigne de faits évidents.
Les natures simples, le cogito, la liberté ou l'union de l'âme et du corps font l'objet d'une expérience dans laquelle s'établit un contact immédiat avec un réel dont il est inutile de fournir les causes. Parce qu'elle est celle que chacun fait de son propre esprit, l'expérience cartésienne propose à la philosophie une activité concrète où l'objectivité et la conduite de la vie se gagnent par une appropriation qui est aussi une mise à distance positive.
Parallèlement au champ scientifique auquel elle ne s'identifie pas, elle s'impose alors comme une notion originale mettant en rapport les droits de la conscience et l'activité dynamique du sujet qui pense. Loin de réduire le pouvoir du connaître aux capacités cognitives du cerveau, à une analyse introspective ou à des savoirs constitués, elle assure que partir de ses propres perceptions dans la connaissance ou d'une expérimentation de soi dans l'efficience est le meilleur gage d'une pensée dont la liberté reste la condition d'accès à la vérité.
Les natures simples, le cogito, la liberté ou l'union de l'âme et du corps font l'objet d'une expérience dans laquelle s'établit un contact immédiat avec un réel dont il est inutile de fournir les causes. Parce qu'elle est celle que chacun fait de son propre esprit, l'expérience cartésienne propose à la philosophie une activité concrète où l'objectivité et la conduite de la vie se gagnent par une appropriation qui est aussi une mise à distance positive.
Parallèlement au champ scientifique auquel elle ne s'identifie pas, elle s'impose alors comme une notion originale mettant en rapport les droits de la conscience et l'activité dynamique du sujet qui pense. Loin de réduire le pouvoir du connaître aux capacités cognitives du cerveau, à une analyse introspective ou à des savoirs constitués, elle assure que partir de ses propres perceptions dans la connaissance ou d'une expérimentation de soi dans l'efficience est le meilleur gage d'une pensée dont la liberté reste la condition d'accès à la vérité.
Nous pensons, nous sommes libres et nous éprouvons des passions : pour quelles raisons ? Descartes fournit cette réponse simple : parce que nous en faisons l'expérience. L'esprit actif institue un ordre de la raison qui se fonde sur des faits que l'homme expérimente en lui-même et dont il serait absurde de douter. Contrairement à la démarche empiriste qui recherche une origine dans une genèse de l'acte de connaître, l'expérience cartésienne témoigne de faits évidents.
Les natures simples, le cogito, la liberté ou l'union de l'âme et du corps font l'objet d'une expérience dans laquelle s'établit un contact immédiat avec un réel dont il est inutile de fournir les causes. Parce qu'elle est celle que chacun fait de son propre esprit, l'expérience cartésienne propose à la philosophie une activité concrète où l'objectivité et la conduite de la vie se gagnent par une appropriation qui est aussi une mise à distance positive.
Parallèlement au champ scientifique auquel elle ne s'identifie pas, elle s'impose alors comme une notion originale mettant en rapport les droits de la conscience et l'activité dynamique du sujet qui pense. Loin de réduire le pouvoir du connaître aux capacités cognitives du cerveau, à une analyse introspective ou à des savoirs constitués, elle assure que partir de ses propres perceptions dans la connaissance ou d'une expérimentation de soi dans l'efficience est le meilleur gage d'une pensée dont la liberté reste la condition d'accès à la vérité.
Les natures simples, le cogito, la liberté ou l'union de l'âme et du corps font l'objet d'une expérience dans laquelle s'établit un contact immédiat avec un réel dont il est inutile de fournir les causes. Parce qu'elle est celle que chacun fait de son propre esprit, l'expérience cartésienne propose à la philosophie une activité concrète où l'objectivité et la conduite de la vie se gagnent par une appropriation qui est aussi une mise à distance positive.
Parallèlement au champ scientifique auquel elle ne s'identifie pas, elle s'impose alors comme une notion originale mettant en rapport les droits de la conscience et l'activité dynamique du sujet qui pense. Loin de réduire le pouvoir du connaître aux capacités cognitives du cerveau, à une analyse introspective ou à des savoirs constitués, elle assure que partir de ses propres perceptions dans la connaissance ou d'une expérimentation de soi dans l'efficience est le meilleur gage d'une pensée dont la liberté reste la condition d'accès à la vérité.