Des sourires et des hommes. Chroniques parues dans Midi Libre
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- Nombre de pages212
- FormatePub
- ISBN2-307-03842-6
- EAN9782307038429
- Date de parution01/01/1986
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille51 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Pres...
Résumé
Voilà des années que Fabre-Colbert s'indigne, dénonce, invective... On connaît ses luttes en faveur de la viticulture languedocienne, ses campagnes généreuses pour la défense du pays natal. On se souvient de son journal L'écho des Corbières, qu'il mit, des années durant, au service des Comités d'action viticole et qu'il anima, avec quelques amis, de sa plume fougueuse. Qui n'a encore en mémoire son ouvrage "Le défi occitan", passionné et généreux, qui s'insurgeait contre l'utilisation du pays occitan et de sa population à des fins bassement touristiques ? L'année dernière, il faisait paraître un livre de souvenirs sur la résistance : "La foire aux hommes", livre tragique et truculent, animé du feu de l'authenticité et de la révolte.
Mais, depuis maintenant quatre ans, Fabre-Colbert publie une chronique hebdomadaire dans Midi Libre : « Des sourires et des hommes ». Ces billets, dont nous publions aujourd'hui un choix significatif, constituent un véritable feu d'artifice qui fuse dans tous les coins. L'amour, la guerre, le gaspillage, l'égoïsme, la société de consommation, la jactance, la politicaillerie, les salauds, les c..., les cocus, les vacanciers...
tout y passe ou presque... Et cela, dans une langue violente, ironique, décapante, qui sait allier dénonciation et humour, qui retrouve la gouaille populaire et le bon sens paysan pour asséner quelques vérités toujours bonnes à dire et, hélas ! trop rarement énoncées. Certes, l'outrance est souvent de mise et la caricature de règle, mais ce sont là les lois du genre. Et puis Henri Fabre-Colbert, qui manie si bien le brûlot et le pamphlet, sait trouver des élans émouvants pour évoquer les vieux, les victimes et les laissés pour compte, mais aussi pour saluer tous ceux en qui il voit l'espoir, frère jumeau de la diatribe.
Mais, depuis maintenant quatre ans, Fabre-Colbert publie une chronique hebdomadaire dans Midi Libre : « Des sourires et des hommes ». Ces billets, dont nous publions aujourd'hui un choix significatif, constituent un véritable feu d'artifice qui fuse dans tous les coins. L'amour, la guerre, le gaspillage, l'égoïsme, la société de consommation, la jactance, la politicaillerie, les salauds, les c..., les cocus, les vacanciers...
tout y passe ou presque... Et cela, dans une langue violente, ironique, décapante, qui sait allier dénonciation et humour, qui retrouve la gouaille populaire et le bon sens paysan pour asséner quelques vérités toujours bonnes à dire et, hélas ! trop rarement énoncées. Certes, l'outrance est souvent de mise et la caricature de règle, mais ce sont là les lois du genre. Et puis Henri Fabre-Colbert, qui manie si bien le brûlot et le pamphlet, sait trouver des élans émouvants pour évoquer les vieux, les victimes et les laissés pour compte, mais aussi pour saluer tous ceux en qui il voit l'espoir, frère jumeau de la diatribe.
Voilà des années que Fabre-Colbert s'indigne, dénonce, invective... On connaît ses luttes en faveur de la viticulture languedocienne, ses campagnes généreuses pour la défense du pays natal. On se souvient de son journal L'écho des Corbières, qu'il mit, des années durant, au service des Comités d'action viticole et qu'il anima, avec quelques amis, de sa plume fougueuse. Qui n'a encore en mémoire son ouvrage "Le défi occitan", passionné et généreux, qui s'insurgeait contre l'utilisation du pays occitan et de sa population à des fins bassement touristiques ? L'année dernière, il faisait paraître un livre de souvenirs sur la résistance : "La foire aux hommes", livre tragique et truculent, animé du feu de l'authenticité et de la révolte.
Mais, depuis maintenant quatre ans, Fabre-Colbert publie une chronique hebdomadaire dans Midi Libre : « Des sourires et des hommes ». Ces billets, dont nous publions aujourd'hui un choix significatif, constituent un véritable feu d'artifice qui fuse dans tous les coins. L'amour, la guerre, le gaspillage, l'égoïsme, la société de consommation, la jactance, la politicaillerie, les salauds, les c..., les cocus, les vacanciers...
tout y passe ou presque... Et cela, dans une langue violente, ironique, décapante, qui sait allier dénonciation et humour, qui retrouve la gouaille populaire et le bon sens paysan pour asséner quelques vérités toujours bonnes à dire et, hélas ! trop rarement énoncées. Certes, l'outrance est souvent de mise et la caricature de règle, mais ce sont là les lois du genre. Et puis Henri Fabre-Colbert, qui manie si bien le brûlot et le pamphlet, sait trouver des élans émouvants pour évoquer les vieux, les victimes et les laissés pour compte, mais aussi pour saluer tous ceux en qui il voit l'espoir, frère jumeau de la diatribe.
Mais, depuis maintenant quatre ans, Fabre-Colbert publie une chronique hebdomadaire dans Midi Libre : « Des sourires et des hommes ». Ces billets, dont nous publions aujourd'hui un choix significatif, constituent un véritable feu d'artifice qui fuse dans tous les coins. L'amour, la guerre, le gaspillage, l'égoïsme, la société de consommation, la jactance, la politicaillerie, les salauds, les c..., les cocus, les vacanciers...
tout y passe ou presque... Et cela, dans une langue violente, ironique, décapante, qui sait allier dénonciation et humour, qui retrouve la gouaille populaire et le bon sens paysan pour asséner quelques vérités toujours bonnes à dire et, hélas ! trop rarement énoncées. Certes, l'outrance est souvent de mise et la caricature de règle, mais ce sont là les lois du genre. Et puis Henri Fabre-Colbert, qui manie si bien le brûlot et le pamphlet, sait trouver des élans émouvants pour évoquer les vieux, les victimes et les laissés pour compte, mais aussi pour saluer tous ceux en qui il voit l'espoir, frère jumeau de la diatribe.