Des escrocs magnifiques
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- Nombre de pages250
- FormatePub
- ISBN2-403-03601-3
- EAN9782403036015
- Date de parution01/01/1998
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille594 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFlammarion (réédition numérique ...
Résumé
Victor Hugo les appelait « écumeurs d'aventures » ou « chasseurs d'expédients ». L'homme de la rue leur donnait des noms plus poétiques : aigrefins, chevaliers d'industrie, écornifleurs... Tous étaient de géniaux artisans de l'entourloupe et de l'arnaque, des magiciens du rêve, capables de fabriquer du vrai avec du faux, de l'or avec du vent. À travers seize destins d'exception, Roger Colombani chronique les plus grandes escroqueries de l'histoire.
Collection surprenante de ruses et de turpitudes, où la malignité des voyous n'a d'égale que la naïveté des victimes. Au XIXe siècle, c'est le marquis de Rayes qui vend au prix fort un mythique Eldorado du Pacifique, la Nouvelle-Irlande, dont on découvre à l'arrivée qu'il s'agit d'une île insalubre, où la plupart des colons laisseront leur vie. C'est aussi, sous la Régence, le génial banquier John Law qui change l'or en assignats et provoque la première faillite de la Banque de France.
C'est encore le gendre du président Jules Grévy qui monte un trafic de fausses Légions d'honneur. Ou Thérèse Humbert qui, dix-sept ans durant, vécut richement, mais à crédit, en faisant miroiter l'héritage d'un imaginaire oncle d'Amérique. Artistes de la filouterie, leurs noms sont encore dans les mémoires : Marthe Hanau, Bolo Pacha, Albert Oustric, Fernand Legros, Michael Milken, Joseph Joanovici, Marius Jacob, Paul Dellapina, le comte Lustig, Michele Sîndona...
Collection surprenante de ruses et de turpitudes, où la malignité des voyous n'a d'égale que la naïveté des victimes. Au XIXe siècle, c'est le marquis de Rayes qui vend au prix fort un mythique Eldorado du Pacifique, la Nouvelle-Irlande, dont on découvre à l'arrivée qu'il s'agit d'une île insalubre, où la plupart des colons laisseront leur vie. C'est aussi, sous la Régence, le génial banquier John Law qui change l'or en assignats et provoque la première faillite de la Banque de France.
C'est encore le gendre du président Jules Grévy qui monte un trafic de fausses Légions d'honneur. Ou Thérèse Humbert qui, dix-sept ans durant, vécut richement, mais à crédit, en faisant miroiter l'héritage d'un imaginaire oncle d'Amérique. Artistes de la filouterie, leurs noms sont encore dans les mémoires : Marthe Hanau, Bolo Pacha, Albert Oustric, Fernand Legros, Michael Milken, Joseph Joanovici, Marius Jacob, Paul Dellapina, le comte Lustig, Michele Sîndona...
Victor Hugo les appelait « écumeurs d'aventures » ou « chasseurs d'expédients ». L'homme de la rue leur donnait des noms plus poétiques : aigrefins, chevaliers d'industrie, écornifleurs... Tous étaient de géniaux artisans de l'entourloupe et de l'arnaque, des magiciens du rêve, capables de fabriquer du vrai avec du faux, de l'or avec du vent. À travers seize destins d'exception, Roger Colombani chronique les plus grandes escroqueries de l'histoire.
Collection surprenante de ruses et de turpitudes, où la malignité des voyous n'a d'égale que la naïveté des victimes. Au XIXe siècle, c'est le marquis de Rayes qui vend au prix fort un mythique Eldorado du Pacifique, la Nouvelle-Irlande, dont on découvre à l'arrivée qu'il s'agit d'une île insalubre, où la plupart des colons laisseront leur vie. C'est aussi, sous la Régence, le génial banquier John Law qui change l'or en assignats et provoque la première faillite de la Banque de France.
C'est encore le gendre du président Jules Grévy qui monte un trafic de fausses Légions d'honneur. Ou Thérèse Humbert qui, dix-sept ans durant, vécut richement, mais à crédit, en faisant miroiter l'héritage d'un imaginaire oncle d'Amérique. Artistes de la filouterie, leurs noms sont encore dans les mémoires : Marthe Hanau, Bolo Pacha, Albert Oustric, Fernand Legros, Michael Milken, Joseph Joanovici, Marius Jacob, Paul Dellapina, le comte Lustig, Michele Sîndona...
Collection surprenante de ruses et de turpitudes, où la malignité des voyous n'a d'égale que la naïveté des victimes. Au XIXe siècle, c'est le marquis de Rayes qui vend au prix fort un mythique Eldorado du Pacifique, la Nouvelle-Irlande, dont on découvre à l'arrivée qu'il s'agit d'une île insalubre, où la plupart des colons laisseront leur vie. C'est aussi, sous la Régence, le génial banquier John Law qui change l'or en assignats et provoque la première faillite de la Banque de France.
C'est encore le gendre du président Jules Grévy qui monte un trafic de fausses Légions d'honneur. Ou Thérèse Humbert qui, dix-sept ans durant, vécut richement, mais à crédit, en faisant miroiter l'héritage d'un imaginaire oncle d'Amérique. Artistes de la filouterie, leurs noms sont encore dans les mémoires : Marthe Hanau, Bolo Pacha, Albert Oustric, Fernand Legros, Michael Milken, Joseph Joanovici, Marius Jacob, Paul Dellapina, le comte Lustig, Michele Sîndona...