Déodat de Sévérac. Musicien francais
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- Nombre de pages354
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-44738-7
- EAN9782296447387
- Date de parution01/12/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
" Déodat de Sévérac " : un nom, un rythme, un chant ; le nom d'un peintre, d'un poète, d'un musicien ; Déodat de Sévérac : le nom d'un musicien-poète. Surgi du plein ciel languedocien, prématurément disparu, bientôt presque abandonné, sauf d'une élite, au grand palais de la mémoire, Déodat de Severac (1872-1921) suscite à nouveau aujourd'hui un intérêt, une curiosité qui ne cessent heureusement de croître, tant en France qu'aux antipodes.
Son oeuvre, dont on a forcément quelque belle souvenance - Cerdana, En Languedoc, Héliogabale, Nymphes au crépuscule, etc. -, se révèle finalement très ample, diversifiée, originale et singulièrement personnelle au temps même où, aux côtés des plus grands, à la jonction des XIXe et XXe siècles, un fort vent de modernité soufflait sur les lettres, les arts et les sciences, une oeuvre rare qui fait avant tout primer sur la forme la rhétorique de l'âme afin, selon Sévérac lui-même, qu'elle " dise bien ce qu'elle veut dire...
". Cet ineffable " dire " déodatien a été inlassablement sondé, ses secrets longuement quêtés, sa transfiguration sémantique et son épiphanie sonore attentivement observées. A présent il pourrait peut-être lui-même amender puis ensemencer la Terre déodatienne déjà patiemment, lentement et amoureusement labourée.
Son oeuvre, dont on a forcément quelque belle souvenance - Cerdana, En Languedoc, Héliogabale, Nymphes au crépuscule, etc. -, se révèle finalement très ample, diversifiée, originale et singulièrement personnelle au temps même où, aux côtés des plus grands, à la jonction des XIXe et XXe siècles, un fort vent de modernité soufflait sur les lettres, les arts et les sciences, une oeuvre rare qui fait avant tout primer sur la forme la rhétorique de l'âme afin, selon Sévérac lui-même, qu'elle " dise bien ce qu'elle veut dire...
". Cet ineffable " dire " déodatien a été inlassablement sondé, ses secrets longuement quêtés, sa transfiguration sémantique et son épiphanie sonore attentivement observées. A présent il pourrait peut-être lui-même amender puis ensemencer la Terre déodatienne déjà patiemment, lentement et amoureusement labourée.
" Déodat de Sévérac " : un nom, un rythme, un chant ; le nom d'un peintre, d'un poète, d'un musicien ; Déodat de Sévérac : le nom d'un musicien-poète. Surgi du plein ciel languedocien, prématurément disparu, bientôt presque abandonné, sauf d'une élite, au grand palais de la mémoire, Déodat de Severac (1872-1921) suscite à nouveau aujourd'hui un intérêt, une curiosité qui ne cessent heureusement de croître, tant en France qu'aux antipodes.
Son oeuvre, dont on a forcément quelque belle souvenance - Cerdana, En Languedoc, Héliogabale, Nymphes au crépuscule, etc. -, se révèle finalement très ample, diversifiée, originale et singulièrement personnelle au temps même où, aux côtés des plus grands, à la jonction des XIXe et XXe siècles, un fort vent de modernité soufflait sur les lettres, les arts et les sciences, une oeuvre rare qui fait avant tout primer sur la forme la rhétorique de l'âme afin, selon Sévérac lui-même, qu'elle " dise bien ce qu'elle veut dire...
". Cet ineffable " dire " déodatien a été inlassablement sondé, ses secrets longuement quêtés, sa transfiguration sémantique et son épiphanie sonore attentivement observées. A présent il pourrait peut-être lui-même amender puis ensemencer la Terre déodatienne déjà patiemment, lentement et amoureusement labourée.
Son oeuvre, dont on a forcément quelque belle souvenance - Cerdana, En Languedoc, Héliogabale, Nymphes au crépuscule, etc. -, se révèle finalement très ample, diversifiée, originale et singulièrement personnelle au temps même où, aux côtés des plus grands, à la jonction des XIXe et XXe siècles, un fort vent de modernité soufflait sur les lettres, les arts et les sciences, une oeuvre rare qui fait avant tout primer sur la forme la rhétorique de l'âme afin, selon Sévérac lui-même, qu'elle " dise bien ce qu'elle veut dire...
". Cet ineffable " dire " déodatien a été inlassablement sondé, ses secrets longuement quêtés, sa transfiguration sémantique et son épiphanie sonore attentivement observées. A présent il pourrait peut-être lui-même amender puis ensemencer la Terre déodatienne déjà patiemment, lentement et amoureusement labourée.