Démocratisation à la togolaise
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- Nombre de pages214
- FormatPDF
- ISBN2-296-35615-X
- EAN9782296356153
- Date de parution01/01/1998
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Depuis 1967 - soit 30 ans ! - le général Eyadéma a instauré au Togo une dictature militaire caractérisée par le crime politique et le crime économique. Pour subsister, il manipule dangereusement la pseudo opposition du pays en "Nord" et "Sud".
Les jeunes excédés, se sont soulevés en 1990 et leur sang a coulé comme ailleurs en Afrique. Le coupable Eyadéma a dû faire face à une Conférence nationale.
Il l'a domptée après avoir carrément refusé d'abandonner l'exclusivité de la direction du pays. Dans la dérive d'une Transition confuse et subjuguée, le Général a profité de l'indécision de son Premier ministre, Koffigoh. Après les élections contestées de 1993, Eyadéma cumule à nouveau tous les pouvoirs. Le respect de la Constitution adoptée par le peuple en 1992 après la Conférence nationale, aurait pu être un premier remède à la crise globale du Togo.
Six ans après, le dictateur est toujours là; il s'est refait une virginité internationale grâce à ses alliés et parrains français : 1998, fort du soutien des "réseaux", Eyadéma "gagne" une fois de plus l'élection présidentielle en empêchant la proclamation des vrais résultats issus des urnes. Le départ sans condition du Général est nécessaire au renouvellement de la classe politique togolaise.
Il l'a domptée après avoir carrément refusé d'abandonner l'exclusivité de la direction du pays. Dans la dérive d'une Transition confuse et subjuguée, le Général a profité de l'indécision de son Premier ministre, Koffigoh. Après les élections contestées de 1993, Eyadéma cumule à nouveau tous les pouvoirs. Le respect de la Constitution adoptée par le peuple en 1992 après la Conférence nationale, aurait pu être un premier remède à la crise globale du Togo.
Six ans après, le dictateur est toujours là; il s'est refait une virginité internationale grâce à ses alliés et parrains français : 1998, fort du soutien des "réseaux", Eyadéma "gagne" une fois de plus l'élection présidentielle en empêchant la proclamation des vrais résultats issus des urnes. Le départ sans condition du Général est nécessaire au renouvellement de la classe politique togolaise.
Depuis 1967 - soit 30 ans ! - le général Eyadéma a instauré au Togo une dictature militaire caractérisée par le crime politique et le crime économique. Pour subsister, il manipule dangereusement la pseudo opposition du pays en "Nord" et "Sud".
Les jeunes excédés, se sont soulevés en 1990 et leur sang a coulé comme ailleurs en Afrique. Le coupable Eyadéma a dû faire face à une Conférence nationale.
Il l'a domptée après avoir carrément refusé d'abandonner l'exclusivité de la direction du pays. Dans la dérive d'une Transition confuse et subjuguée, le Général a profité de l'indécision de son Premier ministre, Koffigoh. Après les élections contestées de 1993, Eyadéma cumule à nouveau tous les pouvoirs. Le respect de la Constitution adoptée par le peuple en 1992 après la Conférence nationale, aurait pu être un premier remède à la crise globale du Togo.
Six ans après, le dictateur est toujours là; il s'est refait une virginité internationale grâce à ses alliés et parrains français : 1998, fort du soutien des "réseaux", Eyadéma "gagne" une fois de plus l'élection présidentielle en empêchant la proclamation des vrais résultats issus des urnes. Le départ sans condition du Général est nécessaire au renouvellement de la classe politique togolaise.
Il l'a domptée après avoir carrément refusé d'abandonner l'exclusivité de la direction du pays. Dans la dérive d'une Transition confuse et subjuguée, le Général a profité de l'indécision de son Premier ministre, Koffigoh. Après les élections contestées de 1993, Eyadéma cumule à nouveau tous les pouvoirs. Le respect de la Constitution adoptée par le peuple en 1992 après la Conférence nationale, aurait pu être un premier remède à la crise globale du Togo.
Six ans après, le dictateur est toujours là; il s'est refait une virginité internationale grâce à ses alliés et parrains français : 1998, fort du soutien des "réseaux", Eyadéma "gagne" une fois de plus l'élection présidentielle en empêchant la proclamation des vrais résultats issus des urnes. Le départ sans condition du Général est nécessaire au renouvellement de la classe politique togolaise.