Démocratie en Afrique francophone : une pure fiction. Le cas de la République démocratique du Congo
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- Nombre de pages116
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-25947-8
- EAN9782296259478
- Date de parution01/09/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille556 Ko
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Après le départ des colonisateurs blancs, au lendemain des indépendances, les politiciens congolais se sont érigés en colonisateurs noirs. Ces colonisateurs noirs étaient beaucoup plus cruels et plus barbares que les colonisateurs blancs et sans aucune vision de développement pour les générations futures. Leur unique objectif se résumait à s'accrocher au pouvoir à perpétuité tout en s'enrichissant personnellement au détriment des populations.
Ce qui explique l'essor des dictatures africaines. De nos jours, les politiciens africains en général et congolais en particulier se comportent toujours en colonisateurs. Ils se lancent en politique dans le seul but de s'enrichir et de se maintenir au pouvoir à vie et non dans celui de contribuer au développement de leurs nations. L'alternance politique devient un événement qu'il faut empêcher à tout prix.
Une appréhension aussi immature et puérile du pouvoir au sein de la prétendue " élite politique africaine " rend l'avènement d'une réelle démocratie impossible, celle-ci étant plus perçue comme une menace de perdre son poste qu'un réel facteur de développement. Au final, chacun parle de démocratie mais tous empruntent des chemins qui n'y mènent vas.
Ce qui explique l'essor des dictatures africaines. De nos jours, les politiciens africains en général et congolais en particulier se comportent toujours en colonisateurs. Ils se lancent en politique dans le seul but de s'enrichir et de se maintenir au pouvoir à vie et non dans celui de contribuer au développement de leurs nations. L'alternance politique devient un événement qu'il faut empêcher à tout prix.
Une appréhension aussi immature et puérile du pouvoir au sein de la prétendue " élite politique africaine " rend l'avènement d'une réelle démocratie impossible, celle-ci étant plus perçue comme une menace de perdre son poste qu'un réel facteur de développement. Au final, chacun parle de démocratie mais tous empruntent des chemins qui n'y mènent vas.
Après le départ des colonisateurs blancs, au lendemain des indépendances, les politiciens congolais se sont érigés en colonisateurs noirs. Ces colonisateurs noirs étaient beaucoup plus cruels et plus barbares que les colonisateurs blancs et sans aucune vision de développement pour les générations futures. Leur unique objectif se résumait à s'accrocher au pouvoir à perpétuité tout en s'enrichissant personnellement au détriment des populations.
Ce qui explique l'essor des dictatures africaines. De nos jours, les politiciens africains en général et congolais en particulier se comportent toujours en colonisateurs. Ils se lancent en politique dans le seul but de s'enrichir et de se maintenir au pouvoir à vie et non dans celui de contribuer au développement de leurs nations. L'alternance politique devient un événement qu'il faut empêcher à tout prix.
Une appréhension aussi immature et puérile du pouvoir au sein de la prétendue " élite politique africaine " rend l'avènement d'une réelle démocratie impossible, celle-ci étant plus perçue comme une menace de perdre son poste qu'un réel facteur de développement. Au final, chacun parle de démocratie mais tous empruntent des chemins qui n'y mènent vas.
Ce qui explique l'essor des dictatures africaines. De nos jours, les politiciens africains en général et congolais en particulier se comportent toujours en colonisateurs. Ils se lancent en politique dans le seul but de s'enrichir et de se maintenir au pouvoir à vie et non dans celui de contribuer au développement de leurs nations. L'alternance politique devient un événement qu'il faut empêcher à tout prix.
Une appréhension aussi immature et puérile du pouvoir au sein de la prétendue " élite politique africaine " rend l'avènement d'une réelle démocratie impossible, celle-ci étant plus perçue comme une menace de perdre son poste qu'un réel facteur de développement. Au final, chacun parle de démocratie mais tous empruntent des chemins qui n'y mènent vas.
