Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Un jour, un matin, dans une ferme en famille dans un environnement merveilleux, une mauvaise nouvelle arrive comme chaque matin : en quelques décennies un certain nombre d'être vivant devrait disparaître. Le réalisateur dans son paradis est sous le choc. Nous sommes bel et bien à la veille d'un point de bascule. Pour lui deux freins à l'action sont très vite identifiable et permette de comprendre un phénomène de surinformation égal au niveau d'inaction. Nous souffrons d'abord d'une croissante virtualisation du réel et une vision désirable de l'écologie nous fait défaut. Il entreprend
donc un voyage filmé rendu possible par une contribution collective et part à la rencontre de ceux qui peuvent peut-être nous permettre de structurer notre pensée, de bien prendre conscience des enjeux et d'agir... Les voyages forment de nouvelles jeunesses et sont nécessaires parfois quand notre destin est celui du monde.
À propos de l'auteur
Biographie de Cyril Dion
Né en 1978, Cyril Dion est le cofondateur avec Pierre Rabhi du mouvement Colibris. Également cofondateur de la revue Kaizen, il publie son premier recueil de poèmes, Assis sur le fil, en 2014 aux éditions de La Table ronde. En 2015, il écrit et coréalise avec Mélanie Laurent le film Demain, qui obtient le César du meilleur documentaire en 2016. En 2017, il publie chez Actes Sud Petit manuel de résistance contemporaine.
Demain ensemble Cop21 n°2
Un jour, un matin, dans une ferme en famille dans un environnement merveilleux, une mauvaise nouvelle arrive comme chaque matin : en quelques décennies un certain nombre d'être vivant devrait disparaître. Le réalisateur dans son paradis est sous le choc. Nous sommes bel et bien à la veille d'un point de bascule. Pour lui deux freins à l'action sont très vite identifiable et permette de comprendre un phénomène de surinformation égal au niveau d'inaction. Nous souffrons d'abord d'une croissante virtualisation du réel et une vision désirable de l'écologie nous fait défaut. Il entreprend donc un voyage filmé rendu possible par une contribution collective et part à la rencontre de ceux qui peuvent peut-être nous permettre de structurer notre pensée, de bien prendre conscience des enjeux et d'agir... Les voyages forment de nouvelles jeunesses et sont nécessaires parfois quand notre destin est celui du monde.