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À découvrir
Delivrance, 3ème enquête du département V, est pour moi la plus haletante et la mieux écrite.
Peut être est ce parce que les prénoms sont plus compréhensibles, peut être est ce parce que l'intrigue est bien montée et l'enquête menée tambour battant.
Mais en tout cas, on a du mal à lâcher le livre malgré le pavé qu'il représente.
Moins noir que la 2ème enquête mais tout autant terrifiant, ce 3ème opus nous offre également des descriptions plus touffues des partenaires de Carl. Si Assad est toujours aussi énigmatique et secrêt, Rose nous montre son côté ambivalent et
mystérieuse.
Ayant lu les 3 d'affilée, c'est celui là que je préfère pour le moment. Je le recommande très fortement.
Vite lisons le 4ème et dernier opus :-)
Carl, Assad et Rose du département des affaires non résolues sont de retour pour une nouvelle enquête qui débute avec un maigre indice : une vieille bouteille jetée à la mer il y a déjà plusieurs années.
Une enquête qui va les conduire dans le monde très fermé des congrégations religieuses et des sectes.
Tout est réuni dans ce polar passionnant : un suspens haletant, des passages angoissants, des personnages atypiques et attachants, sans oublier une bonne dose d'humour qui permet de reprendre son souffle au milieu de cette enquête stressante et douloureuse. Une vraie réussite.
C'est le deuxième livre que je lis du département V et j'adore!
Les protagonistes sont tous plus déjantés et attachants les uns que les autres et les enquêtes suffisamment tordues et bien ficelées.
Vivement les autres enquêtes de ce département!
Je découvre cet auteur scandinave, Jussi Adler-Olsen en commençant par le 3ème tome de ce polar mettant en scène un surprenant trio d’enquêteurs d’un département de la police de Copenhague en charge des affaires non résolues. A part un rappel d’une fusillade ayant eu lieu, je pense dans le 2ème tome, le fait de commencer par « Délivrance » n’a pas d’incidence pour la compréhension de cette histoire.
J’ai été vraiment enthousiasmée par cette lecture. L’enquête se met en route tranquillement, sans toutefois qu’il y ait des longueurs, nous permettant d’apprécier
l’humour du vice-commissaire Carl Morck et de ses assistants, malgré le sujet grave traité par ce polar, enlèvements d'enfants. L’intrigue est passionnante et tout au long des pages les rebondissements s’enchaînement, tenant en haleine le lecteur.
Le réalisme dans certaines scènes, comme par exemple la course poursuite en voiture, m’a scotché à mon fauteuil.
Les personnes sont attachantes et vous n’avez qu’une envie c’est de les retrouver dans d’autres enquêtes.
Je vais bien sûr me précipiter pour acheter les deux premiers « Miséricorde » et « Profanation » et j’espère que cet auteur ne va pas s’arrêter à ces trois tomes et qu’il y aura encore et encore des enquêtes de ce trio.
Merci à EntreeLivre de m'avoir permis de découvrir ce polar.
J'étais un peu restée sur ma faim à la lecture du second volume des aventures du département V, moins enlevé que le premier et c'est avec une grande joie et un appétit retrouvé que j'ai plongé dans le 3e où l'on retrouve une construction toute entière tournée vers le suspense et vers le dénouement de l'histoire. Arrivée à la moitié de l'épais roman, je me demandais bien pourquoi cette histoire allait mettre si longtemps à trouver une issue mais c'était sans conter sur les talents de Jussi Adler Olsen qui nous balade littéralement dans son récit, avec ses péripéties, ses rebondissements, ses intrigues parallèles... J'adore les personnages principaux, sur lesquels on commence à en savoir un peu plus mais qui nous réservent encore des surprises. J'adore l'humour qui permet à cette histoire terrible et sombre de prendre des respirations bienfaisantes. Pour faire court, j'ai tourné les pages de ce roman avec avidité jusqu’à ce qu'il soit fini, ce n'est pas si souvent que ça m'arrive... Vite, la suite !!!
J'avais déjà lu le précédant et je n'ai pas été déçue par celui-là même s'il m'a fallu du temps pour le terminer. Les personnages sont bien fouillés, l'histoire est bien construite. je vais maintenant essayé de me plonger dans le premier de la série que je n'ai toujours pas lu. Le polar nordique est décidement plein de bonnes surprises.
Une lecture plus mitigée pour moi que celle de Lystig, Yv, Jostein et tant d'autres.
D'abord, les fautes de frappes et/ou d'impression m'ont génées. Ceci-dit, je les ai surtout remarqué au début de ma lecture, avant d'être plongée dans l'intrigue.
Ensuite, et c'est de ma faute, ma lecture fut hachée, je n'ai donc pas ressenti pleinement monter le suspens.
En revanche, je me suis attachée aux personnages d'Assad ; de Rose-Ysra et de Carl au grand coeur. Une sacrée équipe avec leurs zones d'ombre, leur passé que l'on devine.
Le tueur est diabolique lui aussi, choisissant
avec grande intelligence ses victimes.
Les noms danois (et pas danemarkais, comme l'on cru mes enfants...) me changent des noms suédois et islandais, c'est bien de changer de crêmerie. Sans oublier les expressions qu'Assad ne comprend pas, un régal.
L'auteur fait un récapitulatif des sectes qui sévissent au Danmark. A ce propos, la Scientologie est qualifiée de secte. Certains ne doivent pas être content... Une bonne analyse de leur façon de fonctionner : se couper du monde ; renier les déseteurs y compris ses propres enfants ; vivre avec un sentiment de complète joie tout le temps. Autant de caractéristiques qui font le bonheur du méchant.
A ce propos, un regret : à la fin du roman, on ne sait pas qu'elle était le secret de Magdalena, dommage. Ma curiosité reste sur sa faim.
Les personnages de femmes m'ont plu, également. Des femmes fortes, qui tiennent jusqu'au bout, qui ne lâchent rien, jusqu'au dernier souffle.
Si j'en lis d'autres, ce sera surtout pour en savoir plus sur les trois comparses. Que voulez-vous, je suis curieuse...
L'image que je retiendrai :
Celle de la cabane (au fond du jardin) de pêcheur que tout le monde cherche avec énergie.
Merci aux jeudis critiques qui m'ont permis de découvrir cet auteur.
J'ai aimé le style et l'intrigue.
L'impression de connaître les personnages depuis toujours et une histoire passionnante m'incitent à le recommander
Je trouvais le 2ème tome très intéressant mais trop compliqué dans les prénoms et noms à retenir ?
Et bien dans le 3ème tome, l'histoire est tout aussi intéressante et les prénoms utilisés sont faciles à retenir.
Rien de plus à ajouter, super livre !
N’étant pas très habitué aux polars venant de nos amis nordistes, je me suis mis à lire celui-ci sans trop savoir à quoi m’attendre. De plus, à l’inverse de la majorité des fans de Jusi Adler Olsen, je n’avais pas lu les deux premiers livres de la série.
En lisant les cinquante premières pages du livre, je dois dire que je me suis demandé où j’avais mis les pieds. En effet, au premier abord ces trois personnages ne semblent pas du tout pouvoir travailler ensemble. Cependant, au fil du livre, on se rend compte qu’ils forment finalement une bonne équipe de policiers. Ce
trio improbable travaillant au département V de la police de Copenhague se lance un peu par hasard à la recherche d’un tueur d’enfant machiavélique. C’est un message venant d’une bouteille à la mer qui, s’il n’avait pas fini oublié au fond d’un carton, va éveiller la curiosité de Rose dans un premier temps, puis celle de Morck ensuite.
Cette enquête rondement menée m’a plutôt agréablement surprise. C’est un bon polar qui vous garde en haleine page après page, puis chapitre après chapitre…
Si j’avais à émettre un petit bémol cependant, c’est la perte de repère qu’on peut avoir d’un chapitre à l’autre. En effet, de temps en temps, l’auteur nous fait passer d’un chapitre à l’autre sans nécessairement nous dire de qui il parle et d’où on se trouve et cela demande de tenir bon pendant quelques lignes jusqu’à qu’on arrive à recoller les morceaux. Cela reste tout de même une très bonne expérience.
Le flegmatique inspecteur Morck est confronté à une étrange enquête, mêlant sectes, enlèvements, meurtres et tueur. Il est assisté par un étrange collaborateur syrien et une assistante fantasque. Cette nouvelle enquête nous replonge au coeur de la scandinavie, de ses paysages et de ses personnages. J. Adler Ossen signe-là un opus réussi et passionnant, bien dans la suite de Miséricorde et de Profanation. Des atmosphères, des frissons, des odeurs de terreur... les adeptes de thriller seront ravis.
Je comprends maintenant pourquoi le dernier roman de Jussi Adler Olsen, Délivrance a un tel succès. Tout d'abord, il s'agit d'un polar scandinave et cette catégorie a "le vent en poupe". Ensuite, l'auteur met en scène pour ces enquêtes du Département V, un enquêteur très incarné, sympathique et un peu marginal, Carl Morck. Et enfin, l'enquête se déroule dans les milieux des sectes et le présumé coupable, même si il a des circonstances atténuantes liées à son éducation est un être froid et détestable.
" Le fanatisme religieux faisait toujours autant d'adeptes qui, à l'instar
de ses parents, se montraient incapables de comprendre ce qu'aimer son prochain signifie vraiment."
Ceci crée en moi la volonté de piéger cet être abject et donc de m'accrocher avec passion au déroulement de l'enquête.
Tout est réuni pour être vraiment au cœur de l'action. Les chapitres alternent sur plusieurs points de vue, les pistes de chacun convergent vers un dénouement intense et trépidant. L'auteur prend soin s'immiscer quelques enquêtes annexes et surtout allège le côté inhumain des délits par un humour primaire et décalé lié aux enquêteurs. En effet, si dans les premières pages, je prenais les adjoints de Carl, "ce spécialiste des affaires dont plus personne n'a rien à foutre.", pour de sombres rigolos et doutais de cet humour facile, la naïveté d' Assad et la bizarrerie de Rose ou d' Yrsa sont apparues ensuite comme une fontaine de jouvence au coeur de l'horreur.
" Carl leva les yeux vers ses assistants, probablement les deux personnes les plus étranges à avoir arpenté les couloirs de l'imposante bâtisse qu'était l'hôtel de police."
Voici donc un trio d'enquêteurs très personnels que l'on a hâte de retrouver sur des enquêtes aussi passionnantes.
Je vais d'ailleurs commencer par reprendre les deux premières enquêtes, Miséricorde et Profanation.
J'ai pris grand plaisir à retrouver Carl et Assad, décidément de plus en plus mystérieux. J'ai hâte d'en apprendre plus sur son passé. Nous découvrons le secret de Rose, même si on peut dire que pour un enquêteur, Carl n'est pas bien futé car le lecteur le soupçonne très vite. Et j'ai apprécié ce personnage atypique. L'humour est toujours présent, soit à travers les remarques sarcastiques de Carl (sur la Suède notamment), soit à travers le manque de connaissance des expressions danoises d'Assad. Il est même parfois présent quand on ne l'attend pas, c'est à dire dans des situations
tragiques:
"Tu ne dis toujours rien? Alors je double la sanction. Ca t'apprendra à répondre à ton père quand il te parle." Il refusa d'apprendre. Malgré les longues estafilades qui lui zébraient l'échine, malgré les hématomes sur sa nuque, il obligea finalement son père à remettre sa ceinture sans qu'il ait dit un seul mot, ni gémi une seule fois.
Mais contrairement au premier tome qui met surtout en place les relations entre les personnages, l'intrigue est vraiment prenante ici et je me suis vue tourner fébrilement les pages, non pas pour découvrir l'identité de l'assassin car Jussi Adler Olsen n'en fait pas un secret, mais pour suivre son plan diabolique. L'auteur m'ayant intrigué en mentionnant un cycliste de Tølløse (ville mentionnée dans le roman) qui avait dû renoncer à son maillot jaune pour dopage, j'ai découvert que c'est à Michael Rasmussen qu'il fait alors allusion. Autant dire qu'avec ce tome, les enquêtes du département V est entré dans les séries sur lesquelles je me jette (et il y en a très peu).
La troisième enquête du département V nous entraîne dans les pas d'un tueur d'enfants machiavélique qui fait profession du kidnapping et en profite pour régler des comptes avec une enfance malheureuse, un homme malin et insaisissable qui trouve ses proies dans les sectes et autres religions rigoristes qui pullulent au Danemark. Démunies devant le malheur qui les accable et effrayées par les menaces de l'homme, les familles taisent l'horreur qu'elles vivent, se replient dans leur foi et leur communauté et le tueur continuent ses activités en toute impunité. Pour Mørck et son équipe,
c'est une véritable gageure de retrouver cet homme qui ne laissent aucune trace derrière lui. D'autant qu'ils s'occupent aussi d'une enquête sur des incendies criminels que Mørck espère résoudre très vite, histoire de damner le pion à ses collègues du département A.
L'intrigue est un peu longue à se mettre en place mais la deuxième partie reprend de la vigueur et le final est comme toujours particulièrement haletant. Délivrance apporte le même plaisir de lecture que ses deux prédécesseurs avec une enquête prenante et les notes d'humour entre les équipiers de l'unité spéciale. Assad reste toujours aussi énigmatique, son chef s'interroge, tente d'en savoir plus mais le mystère s'épaissit. Rose claque la porte du bureau mais envoie sa jumelle Yrsa pour la remplacer, aussi blonde et rose que l'autre est sombre, elle a tout de même en commun avec sa soeur le fait de n'en faire qu'à se tête. Dans cette ambiance de folie douce, Mørck tente de faire respecter ses ordres, tout en commençant une psychothérapie avec un confrère de Mona. Pourra-t-il faire la lumière sur l'affaire qui le hante? Hardy semble penser qu'il en sait plus qu'il ne le dit mais il s'en défend. Ment-il ou, rongé par la culpabilité, a-t-il occulté inconsciemment des éléments de l'enquête? La suite au prochain épisode dont on espère qu'il sera très vite dans les librairies!
C’est donc grâce à l’opération des Jeudis Critiques d’Entrée Livre (http:// www.entreelivre.com) que j’ai pu découvrir ce troisième volet.
Autant Profanation m’avait un peu ennuyé, autant Délivrance m’a réconcilié avec l’auteur. Le département V se voit confier une enquête qui s’avère difficile. Une bouteille jetée à la mer a été retrouvée dans un filet de pêche d’un bâteau écossais. Le message rédigé en danois atterrit tout naturellement sur le bureau de Carl Morck.
Le message ne datant pas d’hier, il est difficile de le déchiffrer et petit à
petit, les enquêteurs vont découvrir un bouleversant SOS. Cependant, une question demeure : depuis sa rédaction que s’est-il passé ?
Il faudra conjuguer le flair d’Assad, qui n’a pas son pareil pour dénicher le petit détail qui aura échappé au commun des mortels et la pugnacité de Rose pour aller au bout de cette enquête. Ils ne seront pas trop de trois car le tueur qu’ils pourchassent est particulièrement retors et prudent, pour preuve il ne s’est pas encore fait pincer.
L’enquête a du rythme et on en apprend à chaque fois un peu plus sur le caractère des personnages : Rose qui sous ses dehors excentriques a un cœur chamallow, Assad protège sa vie privée comme personne et Carl continue de se battre contre sa culpabilité envers son ex compère Harry, paralysé à la suite d’une affaire ayant mal tourné.
La fin est arrivée un peu vite mais les tout derniers mots donnent une petite touche d’espoir.
Je ne me suis pas ennuyée et les 669 pages sont passées comme une lettre à la poste. Je dois remercier Assad et ses proverbes incongrus qui m’ont fait éclater de rire alors que l’ambiance du livre n’y était pourtant pas.
Il n'est jamais évident de se plonger dans une série de romans policiers qui comptent déjà deux publications antérieures à sa lecture, mais cela n'a rien d'impossible non plus car les enquêtes, elles, sont indépendantes. Il faut juste prendre le train en marche en ce qui concerne la vie des protagonistes récurrents. C'est un peu comme se mettre à suivre une série télévisée en cours de diffusion. On patauge un peu au départ. On sent bien que l'on a raté quelques détails assez importants, mais de fil en aiguille, on en devine beaucoup et on finit par presque tout savoir surtout
si l'auteur n'est pas avare de petites répétions que l'on devine ici ou là pour les "retardataires". Il donne des éléments pour ne pas perdre son public.
Avec "Délivrance", j'ai au moins eu le sentiment d'être tout de suite dans le bain du frisson. Le prologue vous plonge dedans sans plus de ménagement. Brrrrrr ! Après, pour ce qui est de comprendre les états d'âme de Carl et de ses assistants, de Mona, d'Hardy, de Morten et j'en oublie, j'ai pris un peu plus de temps, mais une fois que j'avais toutes les clefs en main, ce fut comme si je les avais toujours connus.
Jussi Adler Olsen possède une belle écriture et il sait ménager ses effets. Le suspens est bien entretenu et même le dénouement n'est pas trop attendu. Il en surprendra sans doute plus d'un. Pour ma part, j'avoue que je l'ai bien aimé, mais je n'ai pas complètement été prise au dépourvu. Ahhhh qu'il est pénible de reconnaître les ficelles parfois.
C'est un livre qui vous fera néanmoins frissonner, trembler et vous tiendra en haleine. On alterne entre les lieux et les personnages. C'est très visuel et le rythme ne retombe jamais vraiment ou alors, c'est juste une courte pause avant un déchainement d'évènements qui vous fera tourner les pages sans plus attendre. On est dedans, on est aspiré.
La troisième enquête du Département V vient à peine d'être bouclée que je suis déjà partante pour la quatrième.
Un grand merci à Entrée livre et à "jeudi critiques" qui m'ont permis de lire ce roman en avant-première.
J'ai lu les deux autres romans d'Adler Olsen et celui-ci est de loin, le meilleur des trois. L'enquête est prenante, stressante, intense. Carl Morck, Assad, et Yrsa, la terrible soeur de Rose sont loin de se douter de l'endroit où ils mettent les pieds. Nombre de familles vont être dévasté par ce tueur qui sévit depuis une quinzaine d'années...
Tout ceci est rehausser encore plus avec le style de l'auteur qui distille beaucoup d'humour tout au long du roman.
Chaque personnage
se dévoile un peu plus. Même si certains mystères s'épaississent, notamment autour d'Assad, syrien travaillant pour Carl qui semble cacher beaucoup de choses...
A lire absolument pour les amateurs de thriller angoissant
J'ai découvert cet auteur grâce à "Jeudi Critique" et je vous remercie ! Ce polar danois est une vraie réussite tant sur le plan du suspense que du style.
Le département des affaires non résolues se voit confier une bouteille vieille de 20 ans contenant un message très largement effacé. Maigre piste ... Mais la persévérance du trio d'enquêteurs les conduira vers une cruelle réalité malheureusement encore bien d'actualité.
Courses poursuites, scènes cruelles, héros énigmatiques, meurtrier sans pitié et suspense haletant : tout est réuni dans cette enquête. L'auteur n'est
également pas dénué d'humour et on se surprend à rigoler (et oui à cause de mouches ...) malgré l'histoire tragique.
Et puis bonne nouvelle, les 3 enquêteurs ne nous ont pas encore tout dévoilé de leur personnalité étrange, nous allons surement vite les retrouver pour notre plus grand plaisir.
Pour ma part, je vais tout droit lire "miséricorde" et "profanation".
J'ai eu la chance de gagner ce livre suite aux Jeudi Critiques....
J'avais lu les 2 précedents de cet auteur danois....j'avais déja beaucoup apprecié.....mais là, dans ce troisième opus.....l'auteur met la barre encore plus haut.....tous les ingrédients du succès y sont......personnages atypiques, que ce soit le personnage principal, Carl mock, Assad, son fidèle assistant et ses zones d'ombre qui intriguent autant Mock que le lecteurs, une histoire de jumelles....mais je pourrai rajouter des mots clés.....amiante, mouche verte, bouteille.....inspection du travail, belle mère atypique,
psy......cela vous aide ? Malgré le sujet un peu malsain, et je n'irai pas plus loin pour eviter de dévoiler l'intrigue, très bien amenée.....il y a une langue, agréable à lire, de l'humour, très souvent, un suspense qui s'accroit au fil des pages.....un page turner comme on dit dans d'autres pays....Bref, il reussit son pari, au fil des 660 pages du livre, à nous faire passer par differentes émotions.....tout en nous faisant comprendre qu'il ne nous a pas encore tout devoilé......la complexité de ses personnages très attachants....une veritable reussite.....
GENIAL MAIS JE RESTE SUR MA FAIM
J'ai découvert cet auteur que je ne connaissais pas et ce fut une très belle découverte! J'ai adoré ce livre, les protagonistes, l'intrigue et tout ce qui fait que j'ai tourné les pages à vive allure! Un bémol cependant sur la traduction avec des "alors" à n'en plus finir et j'avoue que c'est parfois gênant.
Je vais sûrement acheter les 2 premiers tomes des enquêtes du département V et j'espère que je me régalerai autant qu'avec celui-ci.
Cependant, quelqu'un pourrait m'expliquer la fin de l'histoire que je n'ai pas comprise? Cette fin reste pour moi un mystère!
D'avance merci à ceux qui pourront éclairer ma lanterne!