Défendre le social. 1905 - 2025 : syndicats et journalistes ensemble pour une information plurielle, de qualité et de vérité
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- FormatePub
- ISBN979-10-405-7056-1
- EAN9791040570561
- Date de parution09/12/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLibrinova
Résumé
Les syndicats et les journalistes de l'information sociale sont comme les deux jambes d'un même corps : le « corps social ». Quand les premiers avancent des revendications, ils ont impérativement besoin de prendre appui sur les seconds pour les médiatiser et les valoriser. Quand les journalistes souhaitent donner un contenu au dialogue social et produire une information citoyenne, ils doivent pouvoir compter sur les corps intermédiaires pour nourrir le débat.
Les avantages sont réciproques et partagés. L'équilibre se trouve en marchant. Il en va ainsi depuis la reconnaissance des syndicats, notamment du Syndicat Général des Journalistes Professionnels (SGJP) en 1905. La seconde guerre mondiale, la Résistance, puis la guerre froide jusqu'en 1989 ont renforcé cette collaboration au point de lui donner en 1967 une forme institutionnelle avec la création de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis).
C'est son histoire, largement méconnue, que racontent ici ceux qui ont vécu cette aventure humaine qui a transcendé les préférences politiques et culturelles dans un seul but : mettre une information sociale de qualité au service des citoyens.
Les avantages sont réciproques et partagés. L'équilibre se trouve en marchant. Il en va ainsi depuis la reconnaissance des syndicats, notamment du Syndicat Général des Journalistes Professionnels (SGJP) en 1905. La seconde guerre mondiale, la Résistance, puis la guerre froide jusqu'en 1989 ont renforcé cette collaboration au point de lui donner en 1967 une forme institutionnelle avec la création de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis).
C'est son histoire, largement méconnue, que racontent ici ceux qui ont vécu cette aventure humaine qui a transcendé les préférences politiques et culturelles dans un seul but : mettre une information sociale de qualité au service des citoyens.
Les syndicats et les journalistes de l'information sociale sont comme les deux jambes d'un même corps : le « corps social ». Quand les premiers avancent des revendications, ils ont impérativement besoin de prendre appui sur les seconds pour les médiatiser et les valoriser. Quand les journalistes souhaitent donner un contenu au dialogue social et produire une information citoyenne, ils doivent pouvoir compter sur les corps intermédiaires pour nourrir le débat.
Les avantages sont réciproques et partagés. L'équilibre se trouve en marchant. Il en va ainsi depuis la reconnaissance des syndicats, notamment du Syndicat Général des Journalistes Professionnels (SGJP) en 1905. La seconde guerre mondiale, la Résistance, puis la guerre froide jusqu'en 1989 ont renforcé cette collaboration au point de lui donner en 1967 une forme institutionnelle avec la création de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis).
C'est son histoire, largement méconnue, que racontent ici ceux qui ont vécu cette aventure humaine qui a transcendé les préférences politiques et culturelles dans un seul but : mettre une information sociale de qualité au service des citoyens.
Les avantages sont réciproques et partagés. L'équilibre se trouve en marchant. Il en va ainsi depuis la reconnaissance des syndicats, notamment du Syndicat Général des Journalistes Professionnels (SGJP) en 1905. La seconde guerre mondiale, la Résistance, puis la guerre froide jusqu'en 1989 ont renforcé cette collaboration au point de lui donner en 1967 une forme institutionnelle avec la création de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis).
C'est son histoire, largement méconnue, que racontent ici ceux qui ont vécu cette aventure humaine qui a transcendé les préférences politiques et culturelles dans un seul but : mettre une information sociale de qualité au service des citoyens.