DécYmation #14
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- Nombre de pages24
- FormatePub
- ISBN979-10-234-0921-5
- EAN9791023409215
- Date de parution18/02/2022
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille613 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurSKA
Résumé
Un virus androcidaire, une politique délirante, une privée pleine de ressources... ça charcle ! VANORA HOCH, c'était son nom. Si j'avais fait le rapprochement plus tôt, ça m'aurait peut-être évité un tas d'emmerdes et un gros pépin. C'est pas bien sûr, pour être honnête. Les embrouilles, j'ai toujours eu une sorte de don pour les trouver. Peut-être qu'au fond j'ai besoin de ça pour me sentir en vie.
Et maintenant, j'ai beau être obligée de me planquer, à l'affût du moindre regard un tant soit peu suspicieux, la vie, je la sens bouger et pulser au fond de moi, comme jamais. Quand un virus réduit l'humanité à sa moitié féminine, le monde devient-il meilleur pour autant ? « N » toujours aussi insaisissable y mêle son grain de sel.
Et maintenant, j'ai beau être obligée de me planquer, à l'affût du moindre regard un tant soit peu suspicieux, la vie, je la sens bouger et pulser au fond de moi, comme jamais. Quand un virus réduit l'humanité à sa moitié féminine, le monde devient-il meilleur pour autant ? « N » toujours aussi insaisissable y mêle son grain de sel.
Un virus androcidaire, une politique délirante, une privée pleine de ressources... ça charcle ! VANORA HOCH, c'était son nom. Si j'avais fait le rapprochement plus tôt, ça m'aurait peut-être évité un tas d'emmerdes et un gros pépin. C'est pas bien sûr, pour être honnête. Les embrouilles, j'ai toujours eu une sorte de don pour les trouver. Peut-être qu'au fond j'ai besoin de ça pour me sentir en vie.
Et maintenant, j'ai beau être obligée de me planquer, à l'affût du moindre regard un tant soit peu suspicieux, la vie, je la sens bouger et pulser au fond de moi, comme jamais. Quand un virus réduit l'humanité à sa moitié féminine, le monde devient-il meilleur pour autant ? « N » toujours aussi insaisissable y mêle son grain de sel.
Et maintenant, j'ai beau être obligée de me planquer, à l'affût du moindre regard un tant soit peu suspicieux, la vie, je la sens bouger et pulser au fond de moi, comme jamais. Quand un virus réduit l'humanité à sa moitié féminine, le monde devient-il meilleur pour autant ? « N » toujours aussi insaisissable y mêle son grain de sel.