Death and the Societies of Late Antiquity. New methods, new questions?

Par : Gaëlle Granier, Charlotte Boyer, Elisabeth Anstett
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  • Nombre de pages426
  • FormatMulti-format
  • ISBN979-10-320-0470-8
  • EAN9791032004708
  • Date de parution08/09/2023
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Proven...

Résumé

Ce volume bilingue, comprenant un ensemble de 28 contributions disponibles en français et en anglais (dans leur version longue ou abrégée), propose d'établir un état des lieux des réflexions, recherches et études conduites sur le fait funéraire à l'époque tardo-antique au sein des provinces de l'Empire romain et sur leurs régions limitrophes, afin d'ouvrir de nouvelles perspectives sur ses évolutions possibles.
Au cours des trois dernières décennies, les transformations considérables des méthodologies déployées sur le terrain et en laboratoire ont permis un renouveau des questionnements sur les populations et les pratiques funéraires de l'Antiquité tardive, période marquée par de multiples changements politiques, sociaux, démographiques et culturels. L'apparition de ce qui a été initialement désigné comme une « Anthropologie de terrain », qui fut le début de la démarche archéothanatologique, puis le récent développement d'approches collaboratives entre des domaines scientifiques divers (archéothanatologie, biochimie et géochimie, génétique, histoire, épigraphie par exemple) ont été décisives pour le renouvellement des problématiques d'étude : révision d'anciens concepts comme apparition d'axes d'analyse inédits.
Les recherches rassemblées dans cet ouvrage sont articulées autour de quatre grands thèmes : l'évolution des pratiques funéraires dans le temps, l'identité sociale dans la mort, les ensembles funéraires en transformation (organisation et topographie) et les territoires de l'empire (du cour aux marges). Ces études proposent un réexamen et une révision des données, tant anthropologiques qu'archéologiques ou historiques sur l'Antiquité tardive, et révèlent, à cet égard, une mosaïque de paysages politiques, sociaux et culturels singulièrement riches et complexes.
Elles accroissent nos connaissances sur le traitement des défunts, l'emplacement des aires funéraires ou encore la structure des sépultures, en révélant une diversité de pratiques, et permettent au final de relancer la réflexion sur la manière dont les sociétés tardo-antiques envisagent la mort et sur les éléments permettant d'identifier et de définir la diversité des groupes qui les composent. Elles démontrent ce faisant que nous pouvons véritablement appréhender les structures culturelles et sociales des communautés anciennes et leurs potentielles transformations, à partir de l'étude des pratiques funéraires.
Ce volume bilingue, comprenant un ensemble de 28 contributions disponibles en français et en anglais (dans leur version longue ou abrégée), propose d'établir un état des lieux des réflexions, recherches et études conduites sur le fait funéraire à l'époque tardo-antique au sein des provinces de l'Empire romain et sur leurs régions limitrophes, afin d'ouvrir de nouvelles perspectives sur ses évolutions possibles.
Au cours des trois dernières décennies, les transformations considérables des méthodologies déployées sur le terrain et en laboratoire ont permis un renouveau des questionnements sur les populations et les pratiques funéraires de l'Antiquité tardive, période marquée par de multiples changements politiques, sociaux, démographiques et culturels. L'apparition de ce qui a été initialement désigné comme une « Anthropologie de terrain », qui fut le début de la démarche archéothanatologique, puis le récent développement d'approches collaboratives entre des domaines scientifiques divers (archéothanatologie, biochimie et géochimie, génétique, histoire, épigraphie par exemple) ont été décisives pour le renouvellement des problématiques d'étude : révision d'anciens concepts comme apparition d'axes d'analyse inédits.
Les recherches rassemblées dans cet ouvrage sont articulées autour de quatre grands thèmes : l'évolution des pratiques funéraires dans le temps, l'identité sociale dans la mort, les ensembles funéraires en transformation (organisation et topographie) et les territoires de l'empire (du cour aux marges). Ces études proposent un réexamen et une révision des données, tant anthropologiques qu'archéologiques ou historiques sur l'Antiquité tardive, et révèlent, à cet égard, une mosaïque de paysages politiques, sociaux et culturels singulièrement riches et complexes.
Elles accroissent nos connaissances sur le traitement des défunts, l'emplacement des aires funéraires ou encore la structure des sépultures, en révélant une diversité de pratiques, et permettent au final de relancer la réflexion sur la manière dont les sociétés tardo-antiques envisagent la mort et sur les éléments permettant d'identifier et de définir la diversité des groupes qui les composent. Elles démontrent ce faisant que nous pouvons véritablement appréhender les structures culturelles et sociales des communautés anciennes et leurs potentielles transformations, à partir de l'étude des pratiques funéraires.